Nouveautés juin
L’avenir des développeurs : oDesk
Cet article vient d’ici : TechCrunch
oDesk, le site qui aitde les clients à trouver et suivre en direct des developpeurs off-shore, a levé 15 millions de dollars dans un tour de table « Series C » dirigé par DAG Ventures. Les investisseurs existants, Benchmark Capital, Globespan Capital Partners, et Sigma Partners ont aussi participé à la levée de fonds. Cela amène les financements de oDesk à une hauteur de 29 millions de dollars.
oDesk donne la possibilité à des compagnies de se ballader au travers de milliers de profiles de développeurs qualifiés, avec une particularité très attrayante : un scoring de capacité qui se base sur des tests du site. Les projets peuvent être complétés en se basant sur un paiement à l’heure ou sur un prix global. Après avoir loué les services d’une équipe, les clients peuvent suivre la progression de leur projet via une timeline visuelle qui envoie des captures d’écrans périodiques des développeurs concernés.
Depuis son lancement le site a été implique dans des mouvements transactionnels de service estimés à 32 millions de dollars (il garde en général 10 %, mais ce n’était pas le cas il y a peu, car la marge était plus grande). Le site a annoncé qu’il allait utiliser ce nouvel apport d’argent frais pour grossir encore plus et « profiter des opportunité inattendue qui se présenteront à l’avenir”.
Incroyable mais vrai
12,000 étudiants de l’école GCSE (une école Anglaise) ont eu un avantage que peu d’autres étudiants peuvent se vanter d’avoir eu : les réponses étaient inscrites sur le dos du questionnaire.
Reuters a expliqué que l’erreur n’a été remarquée qu’après les début de l’examen, mais qu’ils n’allaient pas forcer les étudiants à le repasser parce que moins de 5 % ont remarqué l’incroyable bévue.
Voici comment cela s’explique : “Tous les papiers d’examen on un copyright qui a un lien avec l’origine du matériel sur le dos de la page… Ce papier en particuler avait beaucoup plus de détail qu’en temps normal pour un papier musical”.
Il y a une une vingtaine de copies qui devraient repasser le test, car, selon les professeurs, les étudiants concernés n’auraient pas été capables de reconnaitre les réponses, si on se base sur les autres tests de ces mêmes personnes.