Voici, pour ceux qui ne le connaissent pas, un langage très récent (2011), fonctionnel, et lisible, mais entièrement nouveau, j’ai nommé (roulement de tambours) : « Funciton »
Voici un exemple de programme qui fonctionne, essayez de deviner ce qu’il fait :
(Note : ce n’est pas un dessin, c’est bien du texte, vous pouvez le sélectionner et le copier coller, ça fonctionne, essayez !) :
Mais seul problème : ça ne fonctionne qu’avec les fichier *.TPL
Donc j’ai fait une demande sur stackoverflow : comment ouvrir un fichier HTML, et vérifier s’il y a dedans "{* *}" et si c’est le cas, appliquer la couleur Smarty.
Et maintenant, j’ai enfin tous les fichiers HTML qui s’affichent correctement. Je vous conseille vivement d’en faire autant, franchement ça m’aide bien que les "{* *}" soient enfin des commentaires et que les {foreach ...} soient bien colorisés.
Vous en avez marre des espaces en fin de code qui ne servent à rien ?
Vous voulez vous conformer à beaucoup de pratiques classiques (Apache, horde, etc.) ?
Voici le petit truc qu’il vous manque, à ajouter dans votre fichier vim :
" Ce code mettra en surbrillance rouge vif
" tous les espaces inutiles après la fin de code :
highlight WhitespaceEOL ctermbg=red guibg=red
match WhitespaceEOL /\s\+$/
Ce code de configuration vim va mettre en rouge tous les espaces inutiles en fin de code.
C’est en cherchant des airs connus que je suis tombé sur ce site : http://www.mutopiaproject.org/ qui recense toutes les compositions tombées dans le domaine publique, qui a généré en automatique des fichiers midi en conséquence, et, surtout, qui a utilisé un logiciel du domaine publique extrêmement performant qui a constitué toutes les partitions.
Comme il y en a des centaines, et que tout est organisé de la même façon, je me suis fait un « aspirateur » de ces compositions, et puis, une fois aspirées, je me suis généré un fichier AutoHotKey (cf http://www.autohotkey.com/), logiciel tout simplement extraordinaire avec lequel on peut simuler en script absolument tout ce qu’on veut sous Windows : souris et clavier. J’ai donc « préposté » tous les articles que vous pouvez voir, et j’en fais apparaître un sur deux « réellement » à moi. Comme ça je fais d’une pierre deux coups : je promeus un site extrêmement bien fait et gratuit, et j’alimente mon blog (ces articles se sont étalés sur quatre mois).
Voilà l’idée derrière la chose : pour tous les projets, on a juste des idées. Ces idées, ils proposent de les matérialiser sous forme de « cartes ». Et de faire des tas de cartes. Après, on organise ces cartes, et quand on clique sur ces cartes, on a évidemment plein de détails : qui l’a créée, des commentaires, des modifications, etc.
Bref c’est un outil très novateur, et qui de côté tout ce qui est priorité (enfin il ne le met pas de côté, disons qu’il le cache : c’est en réalité dans l’organisation des cartes qu’on peut gérer les priorités).
Vos projets deviennent plus lisibles et ça ressemble beaucoup aux post-it qu’on a tendance à coller un peu partout quand on veut faire des choses.
Et si vous voulez, carrément, avoir une idée concrète de comment se gère un projet ainsi, vous pouvez le voir avec Trello dans Trello
Le plus impressionnant, c’est que tout est sur le Web, et que ça tourne parfaitement, et que tout se synchronise automatiquement ! Exemple concret : vous ouvrez votre tableau sur lequel il y a vos cartes, et un collaborateur aux Etats Unis ouvre le même tableau, et lorsqu’il applique des modifications, elles se répercutent automatiquement sur votre tableau, en temps réel ! Par contre, ne me demandez pas d’entrer dans les détails : si jamais deux personnes travaillent sur la même carte au même moment, je ne sais pas du tout ce qu’il se passe.
Vraiment une bonne idée, que je suis en train de tester, et tout se passe de manière naturelle. Joel Spolky est vraiment toujours très novateur !
Vous avez peut-être vu que j’avais écrit un générateur de labyrinthes en C, qui créait en bout de course un fichier Autohotkey (là aussi je vous laisse vous renseigner). Ce fichier Autohotkey lançait Trackmania United Forever et automatisait la pose de blocs, et au final il y avait une course dans… un labyrinthe de blocs de course. J’avais donc modifié Trackmania afin d’en faire un outil pour jouer dans des labyrinthes !
Trackmania 2 est sorti, en version bêta, avec achat pour 0.01 € de moins.
Comme c’était une offre extraordinaire, j’ai sauté sur l’occasion.
Et dans Trackmania 2, ils ont fait très fort (même si ça n’est pas encore 100 % terminé, c’est déjà très abouti) : dans leur éditeur de maps, ils ont fait un langage de programmation qui leur est propre, une sorte de fils caché entre le JavaScript et XML, avec quelques attouchements de C et de « principes objet ».
Je trouve que ça n’est pas très lisible, et encore moins maintenable, mais bon, c’est pour un jeu, alors il faut pas en demander trop, surtout quand on voit qu’on n’est pas que joueur, mais qu’on peut être acteur !
Ce pseudo-langage de programmation s’appelle «ManiaScript».
Je me suis dit : je vais refaire mon générateur de labyrinthes, mais pour «ManiaScript».
J’ai donc commencé à préparer le terrain en «ManiaScript» : j’ai préparé des routines de poses de blocs, des routines pour poser les montées, etc. J’en ai profité pour faire une petite copie d’écran que je vous livre avec plaisir (cliquez dessus pour agrandir) :
Puis j’en ai profité pour me repencher sur mon ancien générateur, et je me suis dit : je vais le reprendre, afin de lui faire générer des scripts «ManiaScript».
C’est ce que j’ai fait, et au bout de deux soirées passées à tout ré-analyser ce que j’avais fait (même si je mets des tonnes de commentaires, mon générateur est en C pur, donc c’est très dur (pour moi en tous les cas) de me replonger dans le bain), j’ai enfin pu recompiler et générer quelque chose. J’en ai donc fait une copie d’écran que je vous livre avec plaisir (cliquez dessus pour agrandir) :
Et puis j’ai repassé toute une soirée à réussir à lier les deux. Le plus gros problème vient du fait que je prends les repères mathématiques «classiques» c’est à dire en vertical, Y, à l’horizontal X, et en profondeur Z. Dans Trackmania, le Y et Z sont inversés. Bonjour le casse tête mais je n’étais pas à ça près. J’ai donc réussi : j’ai fait une copie d’écran que je vous livre avec un bien plus grand plaisir que les deux précédents (cliquez dessus pour agrandir) :
La pose des montées se fait avant la pose des blocs principaux. C’est assez marrant à voir, et comme je suis gentil, je vous ai même fait une copie d’écran (cliquez dessus pour agrandir) :
Ensuite, j’ai voulu tester les limites de ma machine, et j’ai crée le plus grand labyrinthe possible pour Trackmania 2, et à mon grand plaisir, le jeu n’a pas explosé, comme il le faisait pour Trackmania United. Mattez moi ça (cliquez dessus pour agrandir) :
Trackmania 2 a une nouveauté extraordinaire : ils précalculent les ombres avec un réalisme époustouflant, et j’ai donc demandé de précalculer avec le maximum de précision (il y a six niveaux, et le plus détaillé prend plusieurs heures de calcul), et voilà ce que ça a donné (cliquez dessus pour agrandir) :
Ensuite, je me suis dit que les labyrinthes c’est bien joli, mais uniquement des blocs carrés, c’est pas très marrant. Donc j’ai décidé d’améliorer le tout, et j’ai trouvé un truc : après que le labyrinthe ait été posé par le script, j’ai imaginé rajouter en «ManiaScript» du code qui « décore » le labyrinthe. Par exemple, pour les tournants, j’ai mis des blocs de type « route », et j’ai ajouté un bloc « carré » pour terminer tous les cul-de-sac (cliquez dessus pour agrandir) :
Et puis je me suis aperçu que les blocs avaient la possibilité d’avoir des néons incrustés, et que les tournants étaient éclairés, j’ai essayé de voir ce que ça donnait en mode nuit, et c’est vraiment beau (cliquez dessus pour agrandir) :
J’ai recalculé le même labyrinthe afin que vous puissiez comparer avec et sans les améliorations (cliquez dessus pour agrandir) :
Et le même labyrinthe en mode nuit (cliquez dessus pour agrandir) :
Ensuite, j’ai trouvé d’autres types de blocs dont j’ai pu me servir pour améliorer encore le rendu, et faire des tunnels. Le rendu de nuit des tunnels est encore plus joli (cliquez dessus pour agrandir) :
Et puis les dernières captures, qui concernent le seul circuit que j’ai entièrement validé, sur douze étages (cliquez dessus pour agrandir) :
Et comble de joie, le dernier étage a en plus le tout dernier type de tunnels que j’avais implémenté, mais il ne sort que très rarement sur les labyrinthes qui ne sont pas très larges (celui ci fait 4×4) (cliquez dessus pour agrandir) :
J’ai voulu reprendre mes deux articles qui parlaient de Script-fu : le premier pour débuter ici, et le second qui passe à peine à la vitesse supérieure, qui explique l’assignation des variables ici.
Mais comme je suis un grand fan de Python et que tout a été fait pour pousser Python en avant dans Gimp, j’en ai profité.
Trois heures de travail avant d’y arriver.
Première chose à savoir :
On parle de script Python, mais ce sont des plugins.
Donc, lorsqu’on les installe, il faut les mettre dans le répertoire ~/.gimp/plug-ins/ et non pas ~/.gimp/scripts/.
Vous les installez et vous les lancez à partir de là vous avez tout ce qu’il vous faut.
Si vous avez lu ces trois informations avant de vous lancez dans l’aventure je vous aurais probablement fait gagner au moins une demi-journée.
Enfin, pour que la ligne de commande fonctionne sur les dernières versions de Gimp (2.6.8) à l’heure de l’écriture de cet article, il y a plein d’articles obsolètes sur le net. Je vais encore vous faire gagner des heures de recherche :
Voici un exemple complet d’un lancement en ligne de commande qui fonctionne :
Ce plugin transforme une image PNG en la même image, mais en transparente et en couleurs indexée.
Il n’est pas 100% terminé, car la couleur de transparence est codée en dur, mais il fonctionne très bien pour peu que votre couleur soit le blanc 🙂
Pour ce qui est de la méthode, je me suis très fortement inspiré de ce site.
Si je vous ai aidé n’hésitez pas à me laisser un message !
Comme je l’ai toujours dit, ExtJS est une librairie JavaScript extrêmement puissante.
Le seul problème c’est qu’elle est dure à maitriser… mais les résultats obtenus sont incroyablement beaux par rapport au temps de développement.
La même société, Sencha, qui n’est constituée – apparemment – que de personnes très compétentes, a développé le même système, mais pour téléphones portables : le Sencha Touch.
Et ils se sont penchés sur ce que j’appellerai le site du moment : PhoneGap.
Ils ont fait un tutoriel qui vous permet de combiner la puissance de PhoneGap et de Sencha Touch :
J’expliquerai plus en détail dans un prochain article comment fonctionne PhoneGap, mais à mon avis, c’est l’avenir pour des développeurs comme moi qui n’ont pas le temps de se pencher sur les plateformes mobiles spécifiques : je n’ai pas le temps d’apprendre tout iOS et je n’ai pas le temps d’apprendre Android. Par contre je connais bien JavaScript, je commence à bien connaitre HTML5, et grâce à PhoneGap, on peut aller loin, très loin 😉
Je viens de traduire un gros morceau du texte ici.
Lorsque le navigateur fait une requête pour une image statique, il envoie tout de même les cookies dans la requête. Le serveur ne se sert absolument pas de ces cookies. Ils créent donc un traffic supplémentaire totalement inutile. Il faut s’assurer que tous les composants statiques tels que les images sont récupérés sur des domaines sans cookie. Par exemple, il suffit de créer un sous-domaine static, et d’y mettre les composants adéquats.
Par exemple, si le domaine est www.example.org, il suffit de mettre les composants statiques sur static.example.org. Néanmoins, si vous avez déjà mis en place des requêtes sur le domaine de plus haut niveau, soit example.org, alors les cookies suivront tout de même sur static.example.org. Une solution est d’acheter un nom de domaine dédié.
Par exemple, Yahoo! utilise yimg.com, Youtube utilise ytimg.com et Amazon utilise images-amazon.com.
Un autre bénéfice concerne les proxies : certains proxies refusent de mettre en cache des composants qui ont été demandés avec des cookies. Pour la note, si vous vous demandez s’il vaut mieux utiliser example.org ou www.example.org pour votre page de base, pensez à l’impact des cookies. Le fait de supprimer www ne vous laissera pas d’autre choix que d’écrire des cookies qui seront tous diffusés sur *.example.org. Donc, pour des raisons de performance, c’est mieux d’utiliser le sous domaine « www » et d’écrire les cookies pour ce sous-domaine.
…
Vous ne voyez pas que je suis en train de pleurer ? J’ai tout faux sur la plupart des sites Internet que j’ai crée. Bon, aujourd’hui c’est nettement moins problématique que si nous étions dix ans en arrière, mais c’est très agaçant de savoir que tout le travail mis en place est à revoir (règles de réécriture, traducteur, etc)… et le discours que je tenais qui va avec (pas la peine des www). On en apprend tous les jours !