Catégorie : développement Internet

Django : comment passer une constante à tous vos templates ?

Django, nativement, a la possibilité de passer des dictionnaires clé-valeurs à tous les templates, et dans les templates on accède aux valeurs via la clé.

Exemple concret : je voulais passer le nom de mon site à tous les templates, mais sous forme de constante.

Dans settings.py j’ai défini ma constante : WEBSITE_NAME = 'mywebsite'

Il suffit de créer une fonction qui renvoie un dictionnaire avec une clé nommée « correctement », par exemple :

def context_processor_website_name(request):
    return {'website_name': WEBSITE_NAME}

Et ensuite, dans les context_processors, juste ajouter le nom de la fonction par rapport au package où elle est.
J’ai mis cette fonction dans settings.py.
Je ne sais pas si c’est la meilleure place mais l’idée c’est que comme c’est en rapport avec la configuration de mon site, c’est le meilleur endroit…

Donc pour préciser où est la fonction c’est 'myproject.settings.context_processor_website_name' :

On retrouve donc le code final comme ceci :

TEMPLATES = [{
    'BACKEND': 'django.template.backends.django.DjangoTemplates',
    'DIRS': [os.path.join(BASE_DIR, 'templates')],
    'APP_DIRS': True,
    'OPTIONS': {
        'context_processors': [
            'django.template.context_processors.debug',
            # ... and:
            'myproject.settings.context_processor_website_name'
    ],
    },
}, ]

Et voilà, à partir de maintenant, avec exactement 3 lignes de code, j’ai accès à ma variable website_name, que je peux utiliser ainsi :

<title>{% block title %}{% if title %}{{ title|safe }} - {% endif %}{{ website_name }}{% endblock %}</title>

Petite parenthèse : grâce à ce code, si la page qu’on affiche a un titre, elle aura pour titre : [titre] - [nom du site] et si elle n’a aucun titre, elle affichera : [nom du site]

Django : un modèle sur mesure : DaysField code source complet

Code source complet de DaysOfWeek

Après avoir écrit en trois parties (1, 2 et 3) comment faire un modèle sur mesure, voici le code source au complet.

from django.core.exceptions import ValidationError
from django import forms
from django.db import models
from django.utils.translation import ugettext_lazy as _
class DaysOfWeek:
    DAYS = {1: _("Monday"),
            2: _("Tuesday"),
            3: _("Wednesday"),
            4: _("Thursday"),
            5: _("Friday"),
            6: _("Saturday"),
            7: _("Sunday"), }
    DAYS_SHORT = {1: _("Mo"),
                  2: _("Tu"),
                  3: _("We"),
                  4: _("Th"),
                  5: _("Fr"),
                  6: _("Sa"),
                  7: _("Su"), }
    CHOICES = [(idx, value) for idx, value in DAYS.items()]
    @staticmethod
    def summary_from_list(tab, empty=' '):
        if tab is None:
            return '-'.join([empty for a in range(len(DaysOfWeek.DAYS))])
        return '-'.join([str(DaysOfWeek.DAYS_SHORT.get(i, empty)) for i in tab])
class DaysFormField(forms.TypedMultipleChoiceField):
    # different widget, comment to change interface:
    widget = forms.CheckboxSelectMultiple
    def __init__(self, *args, **kwargs):
        if 'max_length' in kwargs:
            kwargs.pop('max_length')
        kwargs['choices'] = DaysOfWeek.CHOICES
        super().__init__(*args, **kwargs)
class DaysField(models.CharField):
    description = _("Comma-separated integers between 1 and 7")
    def __init__(self, *args, **kwargs):
        kwargs['max_length'] = 13 # max. len = all days = "1,2,3,4,5,6,7" = 13
        super().__init__(*args, **kwargs)
    @staticmethod
    def value_to_array(value):
        if value is None:
            return None
        try:
            if isinstance(value, list):
                return [int(a) for a in value]
            elif isinstance(value, str):
                return [int(a) for a in value.split(',')]
        except (TypeError, ValueError):
            raise ValidationError(_("Unexpected value"))
        raise ValidationError(_("Unexpected value"))
    @staticmethod
    def from_db_value(value, expression, connection):
        return DaysField.value_to_array(value)
    def to_python(self, value):
        return DaysField.value_to_array(value)
    def get_prep_value(self, value):
        return ','.join([str(a) for a in value]) if value is not None else None
    def formfield(self, **kwargs):
        # ignore the admin directives: directly override with our custom form:
        return super().formfield(form_class=DaysFormField,
                                 initial=[])
    # region - Validator -
    class ListBetween1And7Validator:
        def __call__(self, value):
            try:
                if isinstance(value, list):
                    loop = [int(a) for a in value]
                elif isinstance(value, str):
                    loop = [int(a) for a in value.strip('[]').split(',')]
                else:
                    raise ValueError()
                for v in loop:
                    if not (7 >= v >= 1):
                        raise ValueError()
            except (TypeError, ValueError):
                raise ValidationError(
                    _("Enter a list if coma-separated values between 1 and 7."),
                    code='invalid')
    # endregion - Validator -
    default_validators = [ListBetween1And7Validator()]

Bootstrap : classes utilitaires

Vous allez peut-être trouver du code qui ressemble à cela :
<p class="mb-0">Texte dans un paragraphe</p>

Bootstrap >= 4 a mis en place plein de possibilités pour faire du padding et des marges « responsives ».
Elles fonctionnent pour tous les breakpoints :

  • xs (<=576px)
  • sm (>=576px)
  • md (>=768px)
  • lg (>=992px)
  • xl (>=1200px)

<p class="{propriété}{côtés}-{taille}">texte</p>

propriété :

  • m – les marges
  • p – le padding

côtés :

  • tmargin-top or padding-top
  • bmargin-bottom or padding-bottom
  • lmargin-left or padding-left
  • rmargin-right or padding-right
  • x*-left and *-right
  • y*-top and *-bottom
  • blank – les 4 côtés à la fois

taille :

  • 0 – supprimer les marges ou mettre le padding à 0
  • 1 – $spacer *0.25
  • 2 – $spacer *0.5
  • 3 – $spacer
  • 4 – $spacer *1.5
  • 5 – $spacer *3
  • auto – margin à auto

Nginx

Nginx hints / aide

Mon objectif était :

  • Si on tape l’URL sans le / à la fin, il redirige en ajoutant le / à la fin
  • Si on tape l’URL avec le / à la fin, tout doit fonctionner
  • Tout ne doit être que statique et les fichiers doivent obligatoirement exister, sauf index.html et index.htm
  • J’en suis donc arrivé à ces règles, plus « proches » de la configuration possible dans Nginx :

    1. Filtre « custom » avec / à la fin. Si oui, n’accepter que index.html ou index.htm
    2. Filtre « custom » en ignorant le / à la fin. Si oui, le nom, qui doit être forcément un fichier, sinon, rediriger en ajoutant un / pour qu’il reboucle au début
      location ~* ^/unity/(?<p>.+)/$ {
        root /web/htdocs/unity;
        try_files /$p/index.html /$p/index.htm /$p =403;
        access_log off;
        expires 1h;
      }
      location ~* ^/unity/(?<p>.+) {
        root /web/htdocs/unity;
        try_files /$p $p @redirect_with_slash_at_the_end;
        access_log off;
        expires 1h;
      }
      location @redirect_with_slash_at_the_end {
        return 301 $scheme://www.mywebsite.com$request_uri/;
      }
    

Sublime Text : licence. Oui. Licence.

Oui.

TAX INVOICE

TAX INVOICE? One image:

Run away!

Je l’ai fait. OUI.
Sublime Text licence bought

J’ai même choisi toutes les catégories dans lesquelles il peut entrer :

  • développement
  • développement divers
  • développement Internet
  • développement Django
  • Php
  • programmation C
  • programmation JavaScript
  • Python
  • geek
  • gestion de projet
  • euh j’arrête, il peut entrer… partout ! (aucune digression, merci !)

Je lutte activement contre la mentalité Française latine : j’essaie d’expliquer à tout le monde qu’il faut arrêter de scier la branche sur laquelle on (= les développeurs) est assise : si vous pouvez avoir quelque chose de gratuit, mais que vous vous en servez souvent, faites le calcul : s’il vous fait économiser du temps, donc de l’argent, bah la conclusion est simple : il faut que cela continue. Pour que cela continue, payez (moins que ce qu’il vous a fait économiser, sinon c’est pas intéressant) mais payez, bon sang !

J’ai évolué de ce côté et je fais tout pour que les personnes que je fréquente – et étudiants – aillent dans ce sens.

Donc oui, Sublime Text me fait gagner du temps tous les jours depuis plusieurs années, et aujourd’hui, la conclusion est évidente : il m’a fait gagner bien plus que 80 €.

Donc… je résume, une image vaut mille mots. Et même si pour certains c’est vieux, le principe reste éternel :

Anastacia - I paid my dues

PS : pour ceux qui ne savent pas ce que « OMFG » signifie, ne le dites à personne, et allez vite chercher sur Internet. Promis on ne le dira à personne. C’est comme « RTFM ». Promis.

python, flask, https et wsgi howto

Je ne vais pas dire le temps que j’ai passé à réussir à mettre ça en oeuvre si quelqu’un fait ça en quelques minutes j’aurais honte… mais disons que j’ai passé beaucoup de temps à le faire tourner, mais je suis vraiment impressionné par sa rapidité. Voici – via ma petite expérience – comment faire tourner un serveur Web très optimisé, en mode production  :
  • flask
  • wsgi
  • https

https / certbot

Je vous donne des pistes, à vous de finir.
L’idée, c’est que je veux paramétrer pour la n-ième fois un nouveau nom de domaine via certbot, et je ne veux pas qu’il touche à la conf de nginx. L’idée c’est que :
(1) Je le fais simplement via certbot-auto puis après,
(2) toutes les autres fois j’utilise « -d » pour qu’il ne touche pas à la conf, et je le fais à la main, en m’inspirant de la conf que cert-bot a fait dans le (1)
Donc, pour faire le (1), je demande à certbot de me créer uniquement le certificat : ./certbot-auto certonly -d monsite.fr
Pour le https, regardez ici.

Python

Code exemple, qui lit un fichier JSON, lance le serveur et sert le fichier lu en tant que JSON :

import json

from flask import Flask, jsonify

app = Flask(__name__)

with open("mon fichier JSON", 'r') as f:
    json_levels_full_description = json.load(f)


@app.route('/')
def index():
    return jsonify(json_levels_full_description)

if __name__ == '__main__':
    app.run(host='0.0.0.0', port=8004)
else:
    application = app

Attention : surtout ne faites pas le classique if __name__ == '__main__' car uwsgi inclut ce fichier, donc ce fichier n’est jamais un __main__, par contre la configuration au lancement a besoin d’une variable globale nommée application.

Nginx

Je copie colle la configuration d’un site qui tourne déjà en https, en voici un extrait diminué à mort pour ne pas polluer avec des règles personnelles, regardez bien le texte en gras, c’est le plus important pour faire tourner Nginx en collaboration avec wsgi :

server {
  server_name "~(www\.)?monsite\.(com|fr|org|biz|be)$";

  index index.html index.htm;

  access_log /blah/proxy-access.monsite.log proxylog;
  error_log /blah/proxy-error.monsite.log error;

  listen 443 ssl;
  ssl_certificate /blah/fullchain.pem;
  ssl_certificate_key /blah/privkey.pem;
  include /blah/options-ssl-nginx.conf;
  ssl_dhparam /blah/ssl-dhparams.pem;

  location / {
    include denied_clients;

    proxy_set_header Host $host;
    proxy_set_header X-Real-IP $remote_addr;
    proxy_set_header X-Forwarded-For $proxy_add_x_forwarded_for;
    proxy_set_header X-Server $host;

    # (!) here it's uwsgi:
    include uwsgi_params;
    uwsgi_pass 127.0.0.1:8002;

  }
}

# redirect http -> https:
server {
  listen *:80;
  server_name "~^monsite\..*$";
  return 302 https://$host$request_uri;
}

Flask

Pour installer flask, et uwsgi, faites un environnement virtuel puis installez les deux :

$ python3 -m venv venvpython.3.6.6
$ source venvpython.3.6.6/bin/activate
$ pip install --upgrade pip
$ pip install flask

uwsgi

Il faut être dans le venv activé (voir paragraphe précédent), puis l’installer via pip :

$ pip install uwsgi

Enfin, le script de lancement !

uwsgi --chdir=/web/htdocs/blah \
    --module=flask_server:application \
    --master --pidfile=/tmp/uwsgi.blah.pid \
    --socket=127.0.0.1:8004 \
    --processes=5 \
    --uid=1000 --gid=2000 \
    --harakiri=20 \
    --max-requests=5000 \
    --vacuum \
    --home=/web/htdocs/blah/venvpython.3.6.6

flask_server correspond au fichier python flask_server.pydécrit dans la section python au début et application est le nom de la variable globale (lisez le code de la section python)

Lorsque vous le lancerez, tout se passera bien, mais l’exécutable ne sera pas en tâche de fond. Cela a un avantage : un CTRL-C et vous l’arrêtez ! L’inconvénient, c’est que vous n’avez pas la main.

Si vous voulez le lancer en tâche de fond et qu’il écrive les logs dans un fichier, ajoutez l’option     --daemonize=/var/log/uwsgi/blah.uwsgi.log


Notes d’amélioration :
– Le port 8004 peut être passé en tant que variable d’environnement à l’application flask via le paramètre `env` de la commande uwsgi, ce qui rend le code plus portable ;
– Les paramètres uwsgi peuvent être consignés dans un fichier my_app.ini et uwsgi serait alors lancé en faisant uwsgi my_app.ini

Django Channels sous Windows : attention !

Bah oui !

Sous Linux, Django Channels est compatible Python 3.5 et plus : c’est vrai.
Pof, comme d’habitude, sudo apt-get install blabla, pip3 install blabla et tout fonctionne.
Sous Windows, ce n’est pas le cas (cela changera sûrement dans les semaines à venir et cet article va rapidement ne plus être vrai), mais pour l’instant, Django Channels ne fonctionne pas sous Windows avec Python 3.6, mais uniquement avec Python 3.5.

De plus, vous devrez télécharger des Gigas et des Gigas de données Microsoft pour avoir le compilateur C++ 14 (si ma mémoire est bonne).

Parce que mon ami Microsoft © a retiré les liens (et si vous les avez je suis preneur) du compilateur en ligne C++, et vous devez télécharger Visual Studio et toutes ses immondices qui vont autour, « téléchargez la version pro », « payez un abonnement », ou le pire : « vous devez être enregistré pour pouvoir lancer Visual Studio » (ce qui, à mon sens, est totalement inadmissible et fait partie des wagons (trains entiers ?) de choses qui font que je prône Linux).

2,8 Go chez moi pour Visual Studio Community ainsi que 5,3 Go pour Microsoft SDKs.

Bref, sous Windows :

  • Installez Python 3.5 (toujour à la racine « C:\Python35« ) pour éviter les problèmes de droits quand il est dans « Program Files« 
  • Installez via la ligne de commande classique « channels » (sans passer par PyCharm) : python.exe -m pip install -U channels

Exemple : cocktails

Pour avoir la moyenne

Lorsqu’on vient sur le site :

  • Si on n’est pas connecté, afficher le formulaire de connexion
  • Si on est connecté :
    • Appel AJAX #1 : aller demander la liste des cocktails et l’afficher
    • Appel AJAX #2 : lorsqu’on clique sur un cocktail, aller chercher le détail de ce cocktail et l’afficher

Pour dépasser un peu la moyenne

  • Formulaire de connexion
  • Gestion des erreurs / avertissements de base (avertissement si mot de passe trop court, erreur si login existant etc)

Pour dépasser largement moyenne

Possibilité de créer des cocktails


Créer un ingrédient

Appel AJAX simple à faire, nous l’avons vu en cours : envoi d’un formulaire :


Créer une unité

Appel AJAX simple à faire, nous l’avons vu en cours : envoi d’un formulaire :


Créer un cocktail

Le seul appel AJAX complexe à faire, voici l’interface utilisateur, à vous d’écrire le code JavaScript qui va derrière :

Pour avoir la note maximale

  • Ecrire tout correctement, parfaitement indenté (tous les éditeurs modernes vous font l’indentation automatique, servez-vous en !)
  • Tout écrire sous forme de classe (dans le cas de ce projet Cocktails, classe Ingredient, classe Unite, etc)
  • Tout séparer dans des fichiers selon cette organisation : un fichier JavaScript par classe, le nom du fichier = le nom de la classe en minuscule (dans le cas de ce projet Cocktails, classe ingredient.js, classe unite.js, etc)
  • Ecriture complète en ECMA6(plus de var, que des let, fonctions de la forme () = >{} etc)
  • Callbacks avancés avec gestion des closures

WordPress : passer de http en https

Je ne fais aucune documentation technique ici, mais juste les deux petites choses auxquelles vous n’aurez peut-être pas pensé : une fois les certificats générés et installés, s’il y a quelque chose qui ne fonctionne pas (une redirection infinie par exemple), voici des endroits où regarder :

Installez l’utilitaire wp-cli qui vous permet de tout faire, y compris l’option search-replace et remplacez « http://monsite » par « https://monsite« . N’oubliez pas de faire une sauvegarde avant (merci mysqldump).

  • Vous avez nginx en tant que reverse proxy ? Forcez WordPress en https :
    Fichier wp-config.php ajoutez ce code :

    if ((!empty($_SERVER['HTTP_X_FORWARDED_PROTO']))
        && $_SERVER['HTTP_X_FORWARDED_PROTO'] === 'https'
    ) {
        $_SERVER['HTTPS'] = 'on';
    }
  • Si cela ne fonctionne toujours pas, essayez de forcer l’admin en https ainsi :
    wp-config.php » ajoutez ce define au début : define('FORCE_SSL_ADMIN', true);

PostgreSQL

PostGreSQL hints / aide

Premiers pas

– Première connexion
– Création de base
N’oubliez pas les ";" à la fin des ordres SQL !
(Pris ici)
sudo su
# su - postgres
postgres $ psql
psql (9.x.x)
Type "help" for help.
postgres=#
postgres=# create database <db>;
CREATE DATABASE
postgres=# grant all privileges on database <db> to <user>;
GRANT
postgres=# ALTER ROLE <user> SUPERUSER;
postgres=#

Supprimer puis refaire une base de données

Se connecter en étant le user "postgres" pour être root et éviter les problèmes de droits.
(!) J’ai tout mis en une ligne comme cela il suffit de copier-coller.
sudo su
# su - postgres
# \c <db>
$ DROP SCHEMA public CASCADE; CREATE SCHEMA public; GRANT ALL ON SCHEMA public TO public; GRANT ALL ON SCHEMA public TO interro;
postgres=#

Faire un dump

Se connecter en étant le user "postgres" pour être root et éviter les problèmes de droits. sudo su
# su - postgres
postgres $ pg_dump interro > output.sql
postgres=#

Opérations de base

Show databases \l
Oui il n’a bien que ça à mettre : antislash « l » !
Switch databases \c <db>
Show tables \dt
Show users \du
Créer un utilisateur CREATE USER <user>;
Changer le mot de passe ALTER USER <user> PASSWORD 'mon-mot-de-passe';
Changer les permissions ALTER USER olivier WITH SUPERUSER;
ALTER USER olivier WITH CREATEDB;
ALTER USER olivier WITH CREATEROLE;
ALTER USER olivier WITH CREATEUSER;
ALTER USER olivier WITH REPLICATION;
ALTER USER olivier WITH BYPASSRLS;
Se connecter en tant que user psql -U olivier -d postgres -h localhost
Déplacer les fichiers data sudo -u postgres psql
# SHOW data_directory;

Puis continuer le tuto ici

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