Catégorie : développement

Tout ce qui concerne le développement en général, que ce soit des choses générales, ou des choses bien précises. Cela va de la gestion de projet à la recherche du fonctionnement de pointeurs en C.

LibreOffice Impress : comment faire une macro

Comme ils l’expliquent officiellement ici, tout est en constante évolution, la documentation est pas forcément à jour etc, donc il vaut mieux aller jeter un coup d’oeil directement dans les rouages pour être sûr du fonctionnement de certains objets de LibreOffice. Ajoutez tout d’abord l’inspecteur d’objet. Il faut aller dans les Macros » Gestion des extensions, et ajouter en une extention en copiant/collant l’URL ici.

Tout d’abord le lieu de référence, celui que tout développeur cherche toujours : celui qui affiche tous les élements accessibles et ce qu’on peut faire avec : les namespaces !

List of all namespaces with brief descriptions

Je vous résume mon problème : la nouvelle mise à jour de LibreOffice change le comportement des animations et il n’est plus possible d’appliquer la même animation à un groupe. Il faut applique l’animation à la main, élément par élément ! Sur un slide de 40 pages j’ai déjà 40 fois à appliquer la même animation (ouverture en fondu), mais si je dois le faire pour 40 x 10 animations = 400 fois c’est du n’importe quoi.

Vous avez tout d’abord une liste d’exemples très intéressants ici. Mais le seul problème c’est qu’il y a très peu de choses concernant Impress. Il y a une super documentation ici, mais c’est sur des macros Python, et Python en macros, n’est utilisable que sur Write, pas sur Impress…

Voici un exemple très poussé et dont plein de choses fonctionnent à merveilles, mais certains appels ne fonctionnent pas.

C’est à partir de là que je me suis débrouillé pour écrire ma macro qui sélectionne toutes les animations du slide en cours, et les change au format « Ouverture en fondu -> Durée : 1.0s ».

Windows : astuce pour gagner du temps

  1. Placez un raccourci sont placés dans le répertoire C:\WINDOWS\system32\lnk.
  2. Ajoutez ce répertoire au PATH de Windows donc tous les raccourcis et autres programmes placés dans ce répertoire pourront être exécutés via DOS ou la commande Exécuter de Windows [WIN+R].
  3. Créez un fichier bat très court, moi j’ai, par exemple « h.bat »
  4. Dans ce fichier, si vous voulez ouvrir l’explorateur à un endroit spécifique, tapez « %SystemRoot%\explorer.exe "C:\BLABLA" » avec BLABLA étant le nom du dossier que vous voulez ouvrir

Note : si vous voulez que vos fenêtres s’ouvrent en mode « maximisé » (qui est différent de plein écran), ajoutez au début start /MAX. Exemple :
start /MAX %SystemRoot%\explorer.exe "C:\BLABLA"

Raccourci de liens

Depuis plus de 15 ans j’utilise cette astuce que peu de gens connaissent : cherchez à gagner du temps, vous verrez cela vous servira tôt ou tard !

Php Json Header

Entêtes

Toujours mettre ces en-têtes pour renvoyer du Php au format JSON + s’assurer qu’il n’y aura pas de problème de cache

header('Cache-Control: no-cache, must-revalidate');
header('Expires: Mon, 26 Jul 1997 05:00:00 GMT');
header('Content-type: application/json');

Exemple complet fonctionnel

<?php
$phrase1=new stdClass();
$phrase1->composition=array('Nom commun', 'Aux + Verbe 3èmePS', 'CC Lieu');
$phrase1->id=12;
$phrase2=new stdClass();
$phrase2->composition=array('Nom commun', 'CC Temps', 'CC Lieu', 'Aux + Verbe 3èmePS');
$phrase2->id=18;
$retour=new stdClass();
$retour->phrases=array($phrase1, $phrase2);
header('Cache-Control: no-cache, must-revalidate');
header('Expires: Mon, 26 Jul 1997 05:00:00 GMT');
header('Content-type: application/json');
echo json_encode($retour);

HTML/CSS – Sélecteurs

Raccourcis pour gagner du temps :


Base d’une page Web (pris » ici)

<!doctype html>
<html lang="fr">
<head>
    <meta charset="utf-8">
    <title>Titre de la page</title>
    <link rel="stylesheet" href="style.css">
    <script src="script.js"></script>
</head>
<body>
    ...
    <!-- Le reste du contenu -->
    ...
</body>
</html>

Tester des filtres XPath

Vous pouvez tester des filtres XPath dans la console de Chrome en utilisant $x().
Exemple de filtre (devinez à quoi il me sert !) :
$x('//*[contains(@class, "nt-card-list")]/descendant::button[@data-control-name="cta_display" and text()="Voir les nouveaux postes"]')

Commentaires fermés sur HTML/CSS – Sélecteurs Publié dans

Django annotate : à quoi ça sert ?

Je n’avais pas bien compris l’utilité de « annotate » dans les queries Django jusqu’à maintenant…

Voici quel était mon problème :

J’avais un modèle de base, Activite. Une activité contenait des choses concernant… une activité. Si si je vous jure !

Par exemple, une activité consistait à ajouter un voyage. Ou avoir une nouvelle relation. Ou faire un témoignage comme quoi on aimait bien le site. Etc.
Je voulais que ces activités soient « partageables » entre les amis.
J’ai crée un modèles ActiviteShare. Facile jusque là.

Mais lorsque je demandais à récupérer toutes les activités, il fallait que je les trie en me basant sur le fait de savoir si elles étaient partagées. Pour exagérer, imaginons une activité qui était faite en 2010. Vous étiez parti à Malibu. Génial ! Et maintenant, en 2016, un ami s’inscrit, devient votre ami, et vous voulez partager cette activité avec lui. Il faut qu’elle s’affiche dans votre mur, comme activité « partagée récemment », mais qu’elle garde sa date de 2010, ok ?

Donc je devais trier d’abord en fonction de la date de ActiviteShare puis seulement après par la date de création de l’Activite.

Seul hic : si vous aviez partagé cette activité avec 10 contacts, au moment du tri, Django renvoyait dix fois le même enregistrement.

Mon tri était super basique, du genre :

Activite.objects.filter(
    # blabla
).order_by(
    '-activiteshared__date_last_modif',
    '-date_last_modif',
    '-date_publication',)

Mais ça ne marchait pas. 🙁

La solution ? Annotate.

Pour vous expliquer avant de mettre le code : je lui demande, lors de la requête, de garder la date maximale parmi toutes les dates partagées, et de l’appeler « mx ». Ensuite, je demande de trier simplement d’abord par « mx », puis par la date de dernière modification de l’activité.

Activite.objects.filter(
    # blabla
).annotate(mx=Max('activiteshared__date_last_modif')).order_by(
    '-mx',
    '-date_last_modif',
    '-date_publication',)

Merci à ce lien qui m’a bien aidé.

Django : internationalisation des fichiers javascript : tutoriel complet

Django vient tout faire pour l’internationalisation de pages HTML, mais saviez-vous qu’il est aussi possible et de manière très simple d’internationaliser vos échanges AJAX ?

Vous avez un tutoriel ici.

Seul point noir : ils ont oublié deux éléments essentiels, je vais donc faire une explication courte ici, puis ajouter un résumé dans ma cheatsheet Django.

Dans l’ordre :

  • Configuration de urls.py :
    Ajouter le dictionnaire dans lequel vous précisez vos « packages ». Vos « packages », ce sont simplement les dossiers qui correspondent à l’application que vous voulez afficher. Normalement c’est un dossier racine de votre projet, moi je l’appelle très souvent « app » pour qu’il soit tout en haut des dossiers racine. Donc ici :

    js_info_dict = {
        'packages': ('app',)
    }
  • Configuration de urls.py :
    Ajouter l’URL jsi18n. Attention ! L’aide ne précise pas du tout où la mettre et c’est là où j’ai perdu énormément de temps, faites attention : il faut le mettre dans les patterns traduits, soit ici :

    urlpatterns += i18n_patterns(
        url(r'^jsi18n/$', javascript_catalog, js_info_dict,
            name='javascript_catalog'),
            # blabla...
    }
  • Includes des fichiers js dans les pages :
    <script src="{% url 'javascript_catalog' %}"></script>
  • Includes des fichiers js dans les pages :
    <script src="{% static 'js/globals.js' %}"></script>
  • Dans le fichier précédent, j’ai le code suggéré dans la documentation :
    function _(a) {
         return gettext(a);
    }
  • Générer les chaînes à traduire. Là aussi dans la documentation ils en parlent mais très mal. Pour résumer, il faut préciser le domaine djangojs :
    Exemple d’ordre qui lance la recherche de toutes les chaînes à traduire, en ignorant le dossier third_party (où je mets les outils externes que je ne veux pas toucher) :

    makemessages -d djangojs -i third_party --locale fr --locale en
  • Traduire. Ce sont les fichiers djangojs.domaine djangojs.po qu’il faut modifier, pas le classique django.po (sans strong>js).

Et à partir de là, tout fonctionne : dans tous les fichiers JavaScript qui suivent, je peux traduire à la fois ce qui arrive en AJAX, ou bien tout simplement afficher un message via _(). Exemple :

$('#menu').empty().append(
    $('<h5 />').html(_('Waiting...'))
);

From Django/Python to NodeJS. Une année après : from NodeJS to Django/Python

Tiens, un blog d’un geek qui explique pourquoi il est passé de python à NodeJS.

Why I’m switching from Python to NodeJS

Ah j’oubliais le plus important : un an après avoir utilisé nodejs en production :

After a year of nodejs in production: back to Python

Au moins ça vient d’un développeur talentueux qui a bossé jour et nuit sur du NodeJS pendant toute une année et il sait bien de quoi il parle.

Spoiler :

  • Easy to learn, impossible to master
  • Good luck handling errors: You’ll need to double your client invoices to makeup for debug time
  • Would I recommend it for large-scale products? Absolutely not.

Traduction de ce qui importe le plus : votre client devra payer le double pour le même projet : développement + autant de temps pour déboguer.

Je vous laisse faire votre propre expérience, moi j’ai la mienne qui se rapproche assez de ces billets de blog.

Javascript et jQuery : comment créer un svg dynamiquement

Saviez vous qu’il était impossible de créer un élément svg dynamiquement comme ceci :

var $('<svg />'); ?

Moi non. Après avoir cherché pendant pas mal de temps j’ai enfin réussi à faire un code qui génère un svg et ça fonctionne :

var mySvg = document.createElementNS("http://www.w3.org/2000/svg", "svg"),
    div_svg = $('#mondiv');

mySvg.setAttribute("version", "1.2");
mySvg.setAttribute("baseProfile", "tiny");
mySvg.setAttribute('viewBox', '0 0 100 100');
mySvg.setAttribute('preserveAspectRatio', 'xMinYMin');
div_svg[0].appendChild(mySvg); /* (!) [0] = élément DOM "pur" */
var c = document.createElementNS("http://www.w3.org/2000/svg", "polygon");
c.setAttribute('points', '0,45 25,1 75,1 99,45 75,90 25,90');
c.setAttribute('style', 'fill:blue;stroke:red;stroke-width:1');
$(mySvg).append(c);

Et voilà vous avez enfin un exemple qui fonctionne !

Django : créer un checkbox multiple choice avec bootstrap

Je me sers de cet habillage ici.

C’est, en gros, une « surcharge » de bootstrap avec quelques composants en plus.

Seulement j’aurais aimé avoir une sélection de plusieurs choix = cases à cocher qui soit « compatible » avec cet habillage.
Je n’aurais jamais cru que c’était aussi simple.
En fait Django a généralisé plein d’affichages HTML à tel point qu’il suffit de faire du pas à pas et de regarder ce qu’il fait pour comprendre.
Même le rendu par « item » de chaque « Renderer » est surchargeable. Donc voici le code qui prend… 10 lignes, et qui réhabille totalement le rendu des cases à cocher :

from django.forms import CheckboxSelectMultiple
from django.forms.widgets import ChoiceFieldRenderer, \
    CheckboxChoiceInput

class BootstrapChoiceFieldRenderer(ChoiceFieldRenderer):
    choice_input_class = CheckboxChoiceInput
    outer_html = '<div{id_attr}>{content}</div>'
    inner_html = '<div class="checkbox">'
                 '{choice_value}{sub_widgets}'
                 '</div>'

class CheckboxSelectMultipleBootstrap(CheckboxSelectMultiple):
    renderer = BootstrapChoiceFieldRenderer

Django : comment changer un label de fieldset dynamiquement

Voici ma classe :

class GameAdmin(admin.ModelAdmin):
    fieldsets = (
        (None, {
            'fields': (('name', 'number_of_players'), )
        }),
        (_(u'Validity'), {
            'classes': ('collapse',),
            'fields': ('date_v_debut', 'date_v_fin')
        }),
    )
    inlines = (GamePersonsInline,)

Mon problème est que je voulais changer dynamiquement 'Validity' afin de montrer soit, si le jeu n’était plus valide, soit s’il était toujours en cours.
L’idée est que s’il a une date de fin de validité, c’est que le jeu n’est plus en cours.

Voici la solution complète, extrêmement simple, et qui me permet sans avoir à déplier le groupe « dates de validité », de voir si la partie n’est plus en cours :

class GameAdmin(admin.ModelAdmin):

    def get_fieldsets(self, request, obj=None):
        fieldsets = super(GameAdmin, self).get_fieldsets(
            request, obj)
        retour = [list(x) for x in fieldsets]
        if obj.date_v_fin:
            retour[1][0] = _(u'Expired: {}').format(
                obj.date_v_fin.strftime('%Y-%m-%d %H:%M:%S'))
        else:
            retour[1][0] = _(u'Running!')
        return retour

    fieldsets = (
        (None, {
            'fields': (('name', 'number_of_players'), )
        }),
        (_(u'Validity'), {
            'classes': ('collapse',),
            'fields': ('date_v_debut', 'date_v_fin')
        }),
    )

Après c’est vrai, il y a une chose de codée en dur, le [1][0], mais je ne voyais pas d’autre solution.