Catégorie : la vie sur le net

WordPress : comment faire si on déplace tout

C’est valable pour WordPress 2.5.1. Je ne sais pas pour les autres versions.
Lorsque vous voulez tout déplacer d’un répertoire vers un autre, et que vous ne voulez rien perdre de vos articles, c’est plutôt simple. Soit vous faites la modification avant de déplacer le répertoire, dans votre outil d’administration, soit vous… êtes dans le pétrin.
Mais plus maintenant !
Le principe est de modifier toute la configuration de votre WordPress par la nouvelle.
Voilà le cas typique : j’ai déplacé tout de :

http://olivier.pons.free.fr/wordpress/

vers :

http://olivier.pons.free.fr/

Solution : il vous faut ouvrir le fichier

wp-includes/functions.php

et aller à la fonction

wp_load_alloptions()

Juste après cette ligne :

$wpdb->suppress_errors($suppress);

vous y ajoutez l’affichage de toutes vos options :

echo "<pre style=\"text-align:left\">".var_export($alloptions_db,true)."</pre>";

Puis vous retournez sur votre blog et vous rafraichissez. Vous allez voir toute une série d’options apparaitre.

Cherchez lesquelles ont une valeur qui contient l’ancien répertoire.
Il vous faut transformer ces options sous cette forme :

  $wpdb->update($wpdb->options,
    array( 'option_value' => 'valeur nouvelle adresse' ),
    array( 'option_name'  => 'nom de l'option', 'autoload' => 'yes'));

et coller cela à la place de votre ligne qui affiche les variables (« echo … ») que je vous ai dit de mettre en début d’article.
Par exemple, mes deux options à appliquer étaient celles-ci :

  $wpdb->update($wpdb->options,
    array( 'option_value' => 'http://olivier.pons.free.fr' ),
    array( 'option_name'  => 'siteurl', 'autoload' => 'yes'));
  $wpdb->update($wpdb->options,
    array( 'option_value' => 'http://olivier.pons.free.fr' ),
    array( 'option_name'  => 'home', 'autoload' => 'yes'));

Ensuite, vous rafraichissez votre page, et hop, tout est écrit en base de données.

Après vérification que tout fonctionne, il ne vous reste plus qu’à supprimer toutes les lignes

$wpdb->update()

qui ne servent plus à rien.

Début mai : les nouveautés du monde

Oracle se penche (enfin) sur le Web 2.0

Mieux vaut tard que jamais pour Oracle. La compagnie a dit qu’elle voulait créer une platforme Web 2.0 pour construire des wikis, des blogs, et de la gestion de contenu.

La platforme, appelée Oracle WebCenter, est une suite intégrée de produits qui ont pour objectif de créer un contenu dynamique, des environnements de travail hautement productifs et de donner la possibilité à tous les utilisateurs qui font du business d’avoir un contexte complet de travail pour leurs tâches quotidiennes.

L’annonce a été faite par Charles Phillips, le président d’Oracle, lors d’une conférence à Londres.

La maison des hackers

Les bidouilleurs (« hackers ») ont maintenant un endroit qui est le leur. Leur maison. Hackers House, un réseau social (c’est vraiment l’expression à la mode, du moment (« social network »)) qui met en avant “le hacking, sa culture (« hacker culture »), le mode de vie, idéologies, idées politiques, et une vision plus globale”. Il recense déjà 1,000 membres.

Les membres de cette communauté peuvent échanger les idées, communiquer, former des groupes, s’agréger autour de certains projets, et même avoir des offres d’emploi au travers d’une plateforme dédiée au marché de l’emploi dans ce domaine. Bref, c’est vraiment comme un réseau social classique. D’ailleurs c’est hébergé et maintenu par Ning.

Les fondateurs de la communauté mettent bien en avant le fait qu’il ne favorisent pas, et sont même contre, toute activité criminelle, et qu’ils utilisent le terme “hacker” dans le sens connu, qui n’est pas celui auquel on pense en premier lieu, qui signifie “admiration pour le travail de la personne la plus talentueuse, créative, unique, provoquante, intense, intriguante et intéréssante au travers de la societé.”

Hackers House est géré par GnuCitizen, un groupe connu dans le domaine des recherches très pointues sur la sécurité.

Imprimantes couleur, imprimantes docteurs ?

Microsoft pense que dans pas longtemps votre imprimante va vous imprimer une prescription médicale.

Le service IDG News Service a parlé de cette prédiction par un haut placé qui a donné un discours en Indonésie récemment.

L’appellation “drugstore-in-a-box”, ce qui signifie « pharmacie en boîte », vous donnerait la possibilité de jouer au pharmacien et de mettre divers ingrédients dans votre imprimante. Ensuite, illico presto, pof ! Appuyez sur un bouton, attendez une minute, et vous aurez votre dose, imprimée avec les couleurs les plus grosses et flashy disponibles.

La même personne a aussi parlé de la possibilité d’un téléphone portable qui ferait un diagnostique simple en fonction de votre haleine. Il a dit qu’il suffirait de souffler dedans, comme dans un alcootest, et vous verrez l’analyse en direct de vos problèmes. Il vous suffirait d’amener les résultat à un hôpital, où — je n’invente rien, je le jure — il a dit qu’une infirmière « informatisée » vous imprimerait une page de médicaments qu’il vous suffirait de découper comme un puzzle et de coller sur votre langue.”

On ne saura jamais si un dealer local a réussi ou non à mettre du LSD dans le café de notre homme ce matin.

Réalité, fiction, un bon mix !

Parallel Kingdom est un jeu de rôle médiéval fantastique qui se sert des services de géolocalisation pour offrir la possibilité aux utilisateurs de jouer dans un monde virtuel par dessus le monde réel.

Avec un iPhone ou un téléphone qui utilise la technologie Google Android, Parallel Kingdom détecte automatiques la position physique des joueurs, autorisant par là même à créer un personnage virtuel à se déplacer dans une zone, limitée, autour de cet espace virtuel. Les utilisateurs peuvent attaquer, marchander, ou discuter avec ceux qui sont près d’eux, ils peuvent inviter des amis, construire des royaumes, faire des raids, générer des conflit, ou établir des empires économiques.

Le jeu vient de PerBlue, une société de logiciels située à Madison (Wisconsin), spécialisée dans les applications pour iPhone, Google Android et Windows Mobile.

Le graphisme est plutôt basique, mais c’est vraiment un melting pot intéressant d’idées qui mélange à la fois géolocalisation et jeu sur portable, et qui pourrait facilement atteindre le status de jeu-culte. Le seul concurrent actuel est WiFi Army.

La plus grosse tour LEGO au monde

Les fans de lego ont poussé le bouchon du record mondial encore plus loin, avec la plus haute tour faite avec des briques Lego : presque 30 mètres (oui, trente mètres) de haut.

La tour située à Windso-Legoland a été assemblée avec l’aide de milliers d’enfants et de leur famille et a pour objectif de ressembler à un mât de bateau Viking afin de célébrer l’ouverture d’un écran Viking dans le parc d’attractions.

La tour est faite de plus d’un demi million de briques Lego et a été construite par parties de 20 cm de côté, et chaque section a été mise en place par une grue. Le précédent record était un assemblage fait à Toronto en 2007.

(article pris dans The Daily Mail)

Quelques sites originaux

Ici, un petit historique de l’évolution de dix sites Web très connus (amazon, MTV, CNN…)

Dans WordPress, un plugin contre le SPAM. Maintenant, avec les deux plugins qui contrent le SPAM, 99,9 % de commentaires indésirables sont supprimés. Si, si, je n’exagère rien. Il en reste 15 sur 1600 qui sont arrivés, donc ça fait un ratio de 99,9 %… très très pratique.

Les dix types d'entreprises les plus rentables

Article trouvé ici :

(NB : la traduction n’est pas parfaite car il y a des expressions très technique qui m’ont un peu dépassé. N’hésitez pas à me faire part de vos commentaire et j’y appliquerai les corrections si nécessaire)

  1. Services touchant à la comptabilité
    Marge moyenne : 25 %
    Il est question des entreprises qui gèrent le grand livre des comptes, de celles qui conçoivent les systèmes de facturation, de fiches de paie, de remboursement, et qui préparent les bilans financiers et tout ce qui concerne les taxes. Bref tout ça fait bien bailler… jusqu’au moment où on voit le profit de ces entreprises. Trois raisons : la mainmise sur le prix de la prestation (toute entreprise a besoin d’un comptable, quel que soit l’état de l’économie en général), peu de débordements et d’embauches nécessaires, et on s’adapte facilement à la taille des entreprises, grâce à tous les clients qui ne peuvent que revenir.
  2. Services juridiques
    Marge moyenne : 21. 6%
    Les avocats ont une économie plutôt prospère pour – pratiquement – les mêmes raisons que les comptables. Peu d’embauches supplémentaires induites (une secrétaire ou deux, une location de bureaux, et quelques ordinateurs, bref, une dépense acceptable). Le principal revenu se fait au travers de la représentation par l’avocat, ce qui fait qu’il n’y a aucune embauche ou coût caché. Cela maintient un coût réel faible, sachant que le fait de passer les affaires d’un état à un autre aux Etats-Unis est une source abondante de revenus (cela coûte cher – « switching costs »).
  3. Services dentaires
    Marge moyenne : 20.9%
    De bien belles dents pour un sourire radieux. Et une courbe de coût très basse. C’est normal : les seuls coûts sont liés à une salle pour patient, une aide-soignante et une secrétaire. De plus, les dentistes peuvent recevoir beaucoup de patients, jusqu’à plusieurs par heure. Quelques équipement sont chers, mais globalement tout est intéressant. Mieux, la plupart des patients paient de leur propre poche. Les dentistes ont un pouvoir sur le prix que peu d’autres praticiens ont : pour les autres, les prix sont liés à la sécurité sociale (ou les assurances santé, qui serrent les boulons au maximum et imposent leurs tarifs – valable qu’aux Etats-Unis).
  4. Services spécialisés dans le design
    Marge moyenne : 17.6%
    Ce melting-pot inclut les designers d’intérieur, les designers industriels (pas les architectes) et les designers graphiques. L’efficacité dérivant de la technologie, tel que le design de logiciels informatiques, ont vraiment aidé à élargir la marge du profit, dans ce business. Et maintenant, les sociétés de design vendent cher leurs talents.
  5. Autres practiciens de la santé
    Marge moyenne : 17.5%
    Chiropracteurs, optometristes, pédiatres, psychothérapeutes, orthophonistes et professionnels de la santé mentale savent que ça paye, de se spécialiser. Ces practiciens de la santé ont souvent une mainmise sur leurs tarifs, bien plus que les médecins généralistes, parce que la plupart peuvent contourner les grandes organisations de l’assurance santé et consorts. C’est spécifique aux Etats Unis, mais on y viendra bientôt en France, je pense.
  6. Centres de cures et autres
    Marge moyenne : 16.9%
    Les spas, les centres de soins familiaux (avortement, stérilisation volontaires etc.), les centres des soins mentaux, les centres de désintoxication, etc, tous tombent dans cette catégorie assez vaste. Les patients « séjour court » (qui restent moins d’une journée à l’hôpital) rattrapent cette catégorie : avec les nouvelles technologies, il est possible de traiter de plus en plus de personnes. Les hôpitaux spécialisés « séjour court » sont complètement débordés, et ils commencent à rattraper les « long-séjour ».
  7. Courtiers en assurance
    Marge moyenne : 15.9%
    Ici, on parle des agents d’assurance, et ceux qui fournissent d’autres services tels que ceux qui gèrent les quittances de paiement. Les agents qui gagnent bien leur vie sont ceux qui font des polices avec un pourcentage de commission annuel : ils prennent une commission sur la vente d’une police d’assurance, mais aussi un certain pourcentage tous les ans, tant que la police d’assurance est valide. Des revenus additionnels sans aucun coût derrière – la formule la plus intelligente.
  8. Médecins
    Marge moyenne : 15.8%
    Heureusement que les docteurs se font de l’argent : sinon pourquoi se faire suer pendant huit années d’école médicale ? Et quelque soit l’état de l’économie, nous aurons toujours besoin de soins médicaux, et il y aura toujours des gens malades. Néanmoins, aux Etat-Unis, les docteurs voient leurs tarifs pratiquement imposés par les gros assureurs de la santé.
  9. Laboratoires de diagnostiques médical
    Marge moyenne : 15.3%
    Tous les équipements coûtent extrêmement cher et ce genre d’investissement peut en refroidir plus d’un. Pourtant, une fois mis en place, on rentre rapidement dans ses frais, et on fait par là-même rapidement des bénéfices. Selon le type de laboratoire, le coût caché de « refaire un autre test » reste marginal – si on choisit bien l’équipe qui gère tout ça.
  10. Les intermédiaires liés aux dépôts de garantie et prêts
    Marge moyenne : 13.6%
    Ce groupe englobe les petites banques, les unions spécialisées dans les crédits (par exemple General Motors Credit Union) et les autres institutions spécialisée pour les dépôts de garantie. En moyenne, pour chaque dollar qui rentre, il y a 48 cents qui ressortent pour régler les coûts cachés et autres remboursement. Alors que la location de bails commerciaux s’est récemment asséchée ces derniers mois, ce groupe d’industrie a échappé à l’orage, mais pour combien de temps ?

Deux sites à la mode et autres actualités

Voilà deux sites, dont tout le monde parle depuis quelque temps, et personnellement j’ai essayé mais je n’en vois pas l’intérêt :

  1. twitter, un site où on se connecte et où… on dit ce qu’on fait en permanence… genre « je fais le thé », « je pars faire mes courses » etc. Bon bref, je n’en vois vraiment pas l’intérêt. Genre MSN mais on ne peut pas échanger en live avec les autres…
  2. friendfeed, lui, est en pleine montée : il est un peu plus original à savoir qu’on ne regarde pas principalement son petit nombril, mais… principalement celui des autres ! En effet vous pouvez voir en permanence ce que font vos amis. Assez original en fait.

Dans un tout autre registre, les photos qui font scandale de Eva Mendès.

Encore dans un autre registre, vous voulez déposer des noms de domaine ? Voilà le site le plus pratique et le plus rapide du moment pour vérifier la disponibilité des noms : domize

Serious Business, la société derrière l’applet Facebook Friends for Sale, a réussi une levée de fonds de 4 millions de dollar dans un tour de table dirigé par Lightspeed Ventures.

WeLoveFreeMusic.com, un nouveau site qui offre de la musique gratuite (ne pas confondre avec « un site qui offre gratuitement de la musique) a été lancé récemment par le prix Nobel Archbishop Desmond Tutu.

Le site de l’entrepreneur Steven Nowack propose plein de musique, entièrement gratuite, d’artiste tels que Naomi Striemer, Idrissa Diop, Shawn King et Mario Winans… enfin, pour être précis, ce ne sont que des musiques de ces artistes qui sont mises à disposition actuellement. Néanmoins c’est toujours un bon début, non ? Le petit plus amusant c’est que l’expression “The Day That Music Was Set Free™” a été déposée… on ne peut plus s’en servir dans le cadre de la musique. C’est beau les trademarks.

Lorsqu'échouer devient une chose positive

Article trouvé ici :

Attention, le moment QUIZZ : « quel pourcentage de start-ups dotcom (= orientées Internet) ont échoué ?”. Un article trouvé dans Strategy + Business y répond.
La réponse, venue de trois auteurs académiques, est beaucoup plus courte que vous le pensez.
Malgré le fait que tout le monde pense typiquement que 90 pourcent des compagnies dotcom n’ont pas réussi, la réalité est plutôt celle ci : sur un échantillon de toutes les dotcom qui ont reçu des fonds d’investissement en 1999, il y en a presque la moitié (48 pourcent) qui n’a pas coulé cinq ans plus tard, selon Tim Laseter (Université de Virginia’s business school), David Kirsch et Brent Goldfarb (Université de Maryland).
“Après réflexion », continuent-ils, « le fait qu’autant de compagnies aient survécu nous suggère que, dans le domaine de de « la révolution des startup dotcom », la toute première vague a souffert non pas de trop de startups mais pas assez”.
“Pour être clairs, ce n’est pas que nous voudrions que plus de start-ups aient échoué. C’est plutôt qu’un taux faible de manqués indique que trop peu d’entrepreneurs ont eu d’investissements et trop peu d’autres ont investi. S’il y avait eu le double d’investissements et de start-up, il n’y aurait pas eu deux fois plus d’entreprises qui auraient échoué, même si le taux d’échec aurait augmenté, mais à l’inverse, il y aurait eu beaucoup plus d’entreprises avec des modèles de business qui fonctionnent qui auraient réussi et cela aurait été profitable pour tout le monde à moyen et long terme.”
Leur message subliminal : des plus petits paris sur plus d’entreprises pourraient faire naître le prochain boom technologique — qui, au vu du nombre impressionnant de compagnies qui attendent de pouvoir démarrer, est proche de commencer — pourraient s’avérer plus efficaces et plus lucratifs aussi bien à moyen qu’à long terme.

Tout est vieux

Alors que les gens qui achètent des véhicules hybrides et autres pensent qu’ils sont un morceau de ce qui est tout nouveau, une partie de l’avenir, quelqu’un y a plus réfléchi : “The Tonight Show”.
“J’ai possédé trois véhicules à propulsion différentes”, écrit Jay Leno, qui a eu sa colonne de journaliste dans « Popular Mechanics » sur les huit dernières années. “Ma toute dernière a été pensée et conçue en 1925; la plus vieille en 1909. Chacune est la concrétisation d’une idée brillante. Malheureusement les idées avaient été à l’époque beaucoup trop en avance sur leur temps et elle ont toutes les trois échoué.”
Mr. Leno continue à décrire ses trois voitures, et le moment le plus intéressant concerne la plus vieille : une « Baker Electric ».
“Au contraire des autres, la Baker Electric n’avait pas besoin de démarrer, pas d’essence, ne sentait pas le gasoil, et n’avait aucun coût de maintenance.”. Bien évidemment, c’était un marché principalement destiné aux femmes.

Mr. Leno décrit l’intérieur de sa voiture comme “plutôt froufrou, avec le kit de maquillage intégré.”

Superman est en vie

Un étudiant diplômé du MIT (Massachusetts Institute of Technology) a inventé un engin qui permet aux gens — pompiers y compris — de grimper des buildings entiers en un seul bond.
Inventor’s Digest explique que l’instrument, crée par Nathan Ball, 23 ans, donne la possibilité aux pompiers complètement équipés avec lances etc., d’atteindre le haut d’un gratte-ciel de 30 étages en moins de 30 secondes, ce qui est tout bonnement hallucinant quand on sait qu’il faut au jour d’aujourd’hui au moins six minutes pour arriver en haut du même building avec 20 à 40 kilos d’équipement sur le dos.
Mr. Ball prévoit que son « Atlas Powered Rope Ascender », qui est de la taille d’un gros outil électrique manuel, sera utilisé aussi bien pour sauver des gens que pour grimper en s’amusant.
“Il est possible de faire plein de tâches plus efficacement et consommant moins d’énergie”, affirme-t-il.

La bêtise brevetée

Toutes les idées ne sont pas forcément bonnes à prendre. Eric Steuer le prouve dans Wired.
S’appuyant sur les travaux de Scott Seegert, qui a écrit un livre entier sur le sujet, Mr. Steuer nous a concocté un petit article résumé sur les idées vraiment stupides qui ont été brevetées.
Par exemple, le Pogo-copter : un autocollant classique avec une petite hélice dessus qui ferait penser à un hélicoptère.
“Lorsque vous sautez en l’air, les pales de l’hélicoptère vous envoient plus haut dans les airs. C’est comme de flotter sur un nuage — pendant à peu près une seconde. Et puis on s’écrase.”

Il y a aussi “airbag-sous le manteau”, qui envoient de l’air comprimé “dans des ballons situés dans vos chaussures”, quand ils détectent que vous êtes sur le point de tomber.

Et pour le plaisir, quelque chose qui pourrait fonctionner : Robert Bohannon (de Durham, N.C.), un biologiste moléculaire, a crée le donut cafféiné. Le magazine The American a écrit que « Mr. Bohannon a réussi à mettre en place un processus qui élimine le goût amer du café mais laisse tout le truc qui booste provenant de ce dernier intact, et qu’il négocie actuellement son invention avec les grandes chaines de production alimentaire.”

PAUL B. BROWN