On peut éxecuter du javascript dans Firefox directement dans la ligne de l’adresse Internet.
Attendez, c’est génial, je le redis, vous n’avez pas compris :
Savez vous qu’on peut éxecuter du javascript dans Firefox directement dans la ligne de l’adresse Internet ?
En pratique ça donne quoi ?
J’en ai marre de taper systématiquement mon identifiant et mon mot de passe pour me connecter à un intranet.
J’ai un bouton qui est un raccourci classique :
Et au lieu d’un raccourci « simple » genre http://translate.google.com/ c’est un code JavaScript comme ça : javascript:(function(){m='http://translate.google.com/translate?u='+encodeURIComponent(document.location)+'&langpair=en%7Cfr&hl=en&ie=UTF-8&oe=UTF-8';w=window.open(m,'addwindow','resizable=yes');setTimeout(function(){w.focus();},%20250);})();
Qu’est ce que ça fait : je peux être sur n’importe quelle page en anglais, je clique sur le bouton, et hop ! Il m’ouvre une autre fenêtre avec la page traduire via http://translate.google.com/. Magique !
Mais on peut faire encore plus pratique !
Par exemple, moi j’ai un raccourci pour me connecter sur un site personnel, mais ce dernier me demande toujours mon identifiant et mon mot de passe, qui sont systématiquement effacés, alors j’ai fait un second bouton dans lequel il y a du JavaScript qui remplit les champs automatiquement et simule le clic sur « valider ». Donc en pratique, je clique une fois, hop, la page s’affiche, je clique une seconde fois et je suis connecté. Je gagne un temps fou !
Et même chose pour les développeurs de paiement en ligne : vous en avez marre de remplir systématiquement les champs avec les numéros de cartes factices afin de tester, et de mettre une bonne date ? Hop il suffit de créer correctement un bon morceau de JavaScript et ça y est vous remplissez systématiquement TOUS les champs en un seul clic ! Gain de temps phénoménal.
Voici, pour ceux qui ne le connaissent pas, un langage très récent (2011), fonctionnel, et lisible, mais entièrement nouveau, j’ai nommé (roulement de tambours) : « Funciton »
Voici un exemple de programme qui fonctionne, essayez de deviner ce qu’il fait :
(Note : ce n’est pas un dessin, c’est bien du texte, vous pouvez le sélectionner et le copier coller, ça fonctionne, essayez !) :
En ces temps troublés par le capitalisme extrême où beaucoup de gens associent le montant de ce qu’il y a en banque avec le quotient intellectuel de la personne, on oublie de citer des personnes réellement importantes, qui ont, elles, changé le cours complet de l’informatique.
Nous ne serions pas là où nous en sommes sans ces personnes :
Tout finit par se payer tôt ou tard, d’une manière comme d’une autre.
Note : bien sûr, dès qu’il s’agit de critiquer une personne qui est devenue une icône « grand public » (et ça n’est pas positif quand que je dis ça) on retire vite ses articles, ça fait mauvaise presse. Merci wayback machine qui aide à rétablir les preuves qu’il était loin d’être un saint – plutôt l’opposé, même !
Voilà l’idée derrière la chose : pour tous les projets, on a juste des idées. Ces idées, ils proposent de les matérialiser sous forme de « cartes ». Et de faire des tas de cartes. Après, on organise ces cartes, et quand on clique sur ces cartes, on a évidemment plein de détails : qui l’a créée, des commentaires, des modifications, etc.
Bref c’est un outil très novateur, et qui de côté tout ce qui est priorité (enfin il ne le met pas de côté, disons qu’il le cache : c’est en réalité dans l’organisation des cartes qu’on peut gérer les priorités).
Vos projets deviennent plus lisibles et ça ressemble beaucoup aux post-it qu’on a tendance à coller un peu partout quand on veut faire des choses.
Et si vous voulez, carrément, avoir une idée concrète de comment se gère un projet ainsi, vous pouvez le voir avec Trello dans Trello
Le plus impressionnant, c’est que tout est sur le Web, et que ça tourne parfaitement, et que tout se synchronise automatiquement ! Exemple concret : vous ouvrez votre tableau sur lequel il y a vos cartes, et un collaborateur aux Etats Unis ouvre le même tableau, et lorsqu’il applique des modifications, elles se répercutent automatiquement sur votre tableau, en temps réel ! Par contre, ne me demandez pas d’entrer dans les détails : si jamais deux personnes travaillent sur la même carte au même moment, je ne sais pas du tout ce qu’il se passe.
Vraiment une bonne idée, que je suis en train de tester, et tout se passe de manière naturelle. Joel Spolky est vraiment toujours très novateur !
Vous avez peut-être vu que j’avais écrit un générateur de labyrinthes en C, qui créait en bout de course un fichier Autohotkey (là aussi je vous laisse vous renseigner). Ce fichier Autohotkey lançait Trackmania United Forever et automatisait la pose de blocs, et au final il y avait une course dans… un labyrinthe de blocs de course. J’avais donc modifié Trackmania afin d’en faire un outil pour jouer dans des labyrinthes !
Trackmania 2 est sorti, en version bêta, avec achat pour 0.01 € de moins.
Comme c’était une offre extraordinaire, j’ai sauté sur l’occasion.
Et dans Trackmania 2, ils ont fait très fort (même si ça n’est pas encore 100 % terminé, c’est déjà très abouti) : dans leur éditeur de maps, ils ont fait un langage de programmation qui leur est propre, une sorte de fils caché entre le JavaScript et XML, avec quelques attouchements de C et de « principes objet ».
Je trouve que ça n’est pas très lisible, et encore moins maintenable, mais bon, c’est pour un jeu, alors il faut pas en demander trop, surtout quand on voit qu’on n’est pas que joueur, mais qu’on peut être acteur !
Ce pseudo-langage de programmation s’appelle «ManiaScript».
Je me suis dit : je vais refaire mon générateur de labyrinthes, mais pour «ManiaScript».
J’ai donc commencé à préparer le terrain en «ManiaScript» : j’ai préparé des routines de poses de blocs, des routines pour poser les montées, etc. J’en ai profité pour faire une petite copie d’écran que je vous livre avec plaisir (cliquez dessus pour agrandir) :
Puis j’en ai profité pour me repencher sur mon ancien générateur, et je me suis dit : je vais le reprendre, afin de lui faire générer des scripts «ManiaScript».
C’est ce que j’ai fait, et au bout de deux soirées passées à tout ré-analyser ce que j’avais fait (même si je mets des tonnes de commentaires, mon générateur est en C pur, donc c’est très dur (pour moi en tous les cas) de me replonger dans le bain), j’ai enfin pu recompiler et générer quelque chose. J’en ai donc fait une copie d’écran que je vous livre avec plaisir (cliquez dessus pour agrandir) :
Et puis j’ai repassé toute une soirée à réussir à lier les deux. Le plus gros problème vient du fait que je prends les repères mathématiques «classiques» c’est à dire en vertical, Y, à l’horizontal X, et en profondeur Z. Dans Trackmania, le Y et Z sont inversés. Bonjour le casse tête mais je n’étais pas à ça près. J’ai donc réussi : j’ai fait une copie d’écran que je vous livre avec un bien plus grand plaisir que les deux précédents (cliquez dessus pour agrandir) :
La pose des montées se fait avant la pose des blocs principaux. C’est assez marrant à voir, et comme je suis gentil, je vous ai même fait une copie d’écran (cliquez dessus pour agrandir) :
Ensuite, j’ai voulu tester les limites de ma machine, et j’ai crée le plus grand labyrinthe possible pour Trackmania 2, et à mon grand plaisir, le jeu n’a pas explosé, comme il le faisait pour Trackmania United. Mattez moi ça (cliquez dessus pour agrandir) :
Trackmania 2 a une nouveauté extraordinaire : ils précalculent les ombres avec un réalisme époustouflant, et j’ai donc demandé de précalculer avec le maximum de précision (il y a six niveaux, et le plus détaillé prend plusieurs heures de calcul), et voilà ce que ça a donné (cliquez dessus pour agrandir) :
Ensuite, je me suis dit que les labyrinthes c’est bien joli, mais uniquement des blocs carrés, c’est pas très marrant. Donc j’ai décidé d’améliorer le tout, et j’ai trouvé un truc : après que le labyrinthe ait été posé par le script, j’ai imaginé rajouter en «ManiaScript» du code qui « décore » le labyrinthe. Par exemple, pour les tournants, j’ai mis des blocs de type « route », et j’ai ajouté un bloc « carré » pour terminer tous les cul-de-sac (cliquez dessus pour agrandir) :
Et puis je me suis aperçu que les blocs avaient la possibilité d’avoir des néons incrustés, et que les tournants étaient éclairés, j’ai essayé de voir ce que ça donnait en mode nuit, et c’est vraiment beau (cliquez dessus pour agrandir) :
J’ai recalculé le même labyrinthe afin que vous puissiez comparer avec et sans les améliorations (cliquez dessus pour agrandir) :
Et le même labyrinthe en mode nuit (cliquez dessus pour agrandir) :
Ensuite, j’ai trouvé d’autres types de blocs dont j’ai pu me servir pour améliorer encore le rendu, et faire des tunnels. Le rendu de nuit des tunnels est encore plus joli (cliquez dessus pour agrandir) :
Et puis les dernières captures, qui concernent le seul circuit que j’ai entièrement validé, sur douze étages (cliquez dessus pour agrandir) :
Et comble de joie, le dernier étage a en plus le tout dernier type de tunnels que j’avais implémenté, mais il ne sort que très rarement sur les labyrinthes qui ne sont pas très larges (celui ci fait 4×4) (cliquez dessus pour agrandir) :
Si vous parlez un petit peu Anglais, alors cette vidéo est faite pour vous :
Elle vous explique comment cracker les mots de passe Windows, comment utiliser le Wifi, collecter les paquets et les analyser afin de les cracker et de se faire une clé vous donnant l’accès au réseau, etc.
Tout est là, amusez vous bien :
Vous n’arrivez pas à ouvrir le fichier hosts pour y rajouter ce que vous voulez ?
Très simple pourtant… quand on connait l’astuce !
Tout d’abord, si vous essayez d’ouvrir le fichier hosts, il faut aller dans le dossier [disque:][répertoire windows]\system32\drivers\etc
en général, comme pour moi c’est : C:\Windows\system32\drivers\etc
Mais si vous essayez d’ouvrir, vous allez voir que le répertoire n’existe pas !
En fait il est caché, il est invisible :
Il vous suffit juste de taper à la main « etc », comme si vous saviez qu’il était la :
Et de la même façon, le fichier hosts est invisible :
Il vous suffit juste de taper à la main « hosts », comme si vous saviez qu’il était la :
Ensuite, une fois que vous l’aurez ouvert dans votre éditeur favori (beaucoup utilisent Notepad++, moi c’est Pspad, mais c’est la même chose dirons-nous), vous ne pourrez pas sauvegarder tant que vous n’aurez pas modifié les autorisations. Comment faire ? C’est très simple, le résumé en image :
Explication : il faut cliquer avec le bouton droit sur le fichier, choisir « propriétés », puis changer les autorisations, et mettre « contrôle total » pour tous les utilisateurs.
Attention, c’est assez dangereux, cela signifie que tout le monde peut écrire dedans, et si vous installez un virus, il pourra écrire dedans, comme tout le monde.
A vous de voir, mais je n’ai jamais eu, en 17 ans de développement, de virus… enfin il faut dire que j’utilise Linux 50 % du temps aussi !
Comme d’habitude, j’espère avoir apporté un peu de savoir à la communauté et que je vous aurai évité de perdre du temps dans des choses inutiles !
Ce cas nous est déjà arrivé au moins une fois : vous avez besoin de donner une adresse email uniquement temporairement.
La solution se trouve ici : http://tempalias.com/
Vous donnez votre vrai email, vous précisez combien de temps votre « faux mail » doit durer (en temps ou en nombre de messages reçus) et hop ! On vous donne un email temporaire que vous pourrez utiliser.
Ce n’est pas un principe génial, c’est un principe géniallissime !
En espérant que cela vous serve pour faire plus de bien que de mal !
Voici le résultat de ma commande de petits Lego pour ma fille :
Que dire et qu’en penser ?
Je vous laisse le choix, pour ma part je me suis fait mon opinion…
sachant qu’en plus, pour en rajouter une couche de la taille de la croûte terrestre, c’est de l’ASP…
C’est incroyable. A se taper la tête contre les murs.
En 2004, j’avais changé pour la troisième fois de portable en un an, parce que tous les portables étaient des non-sens en terme d’utilisation. Et puis j’ai acheté un Sony Ericsson. Le rêve. On m’appelait, je décrochais facilement (= une touche accessible simplement), je parlais bien, il avait une longue autonomie, bref, le rêve. Je n’avais aucun reproche à faire. Naturellement, j’ai vanté Sony Ericsson à tout le monde, pendant plusieurs années… jusqu’à l’année dernière.
L’année dernière, je me suis dit : il faut passer la vitesse supérieure, il faut que je passe à un téléphone plus moderne. J’ai donc cherché un système relativement libre : Android. Et comme j’étais amoureux de Sony Ericsson, j’ai acheté le Sony Ericsson Vivaz. Tout simplement la plus grossière erreur de ma vie depuis plusieurs années. Tout dans ce téléphone est inadmissible d’incohérence : je ne vais pas m’étaler sur toutes les stupidités qui ont été mises en place, mais la plus énorme de toutes, c’est que selon les manipulations que l’on fait dans l’agenda, ce dernier ne fonctionne pas et ne sonne pas pour faire les rappels. Véridique.
J’ai donc attendu impatiemment jour pour jour l’arrivée de mes 12 mois d’abonnement à Bouygues pour changer de téléphone portable. Encore une fois, il est hors de question que je paie pour un système aussi propriétaire, fermé et cher que celui d’Apple. J’ai, cette fois, pris mon temps et j’ai cherché parmi tous les téléphones portables. Il y en avait deux qui semblaient vraiment correspondre à mes besoins : le Sony Ericsson Xperia Arc, et le Samsung Galaxy S.
Comme il était plus récent et que j’ai lu beaucoup de retours positifs sur le Sony Ericsson Xperia Arc, j’ai décidé de l’acheter.
Bon, avant d’aller plus loin, je vais expliquer le principe de toute interface homme machine (IHM) correcte : une IHM bien conçue est immédiatement comprise par l’utilisateur. Immédiatement.
Maintenant que j’ai expliqué clairement les règles, je vais expliquer quelles sont les manipulations que j’ai faites. La première a consisté à brancher mon téléphone sur l’USB de mon ordinateur. Là, le téléphone s’allume et me demande « Voulez-vous installer PC Companion ». Je dis « oui », et là sur mon ordinateur, l’installation se lance, tout fonctionne à merveille… jusqu’à ce qu’elle soit terminée. A partir de ce moment, dès que je branche mon portable, j’ai cette merveilleuse boite de dialogue qui s’affiche :
Donc je suis systématiquement obligé d’annuler, et sur mon téléphone portable, de dire « Oui » à chaque fois que je lis « Voulez-vous installer PC Companion », sinon ça ne fonctionne pas, même en lancant l’application à la main :
Alors je me suis dit « mais bon sang c’est sûrement sur mon Windows XP que ça ne fonctionne pas, je vais tester sur Windows 7 toute dernière génération ! Même problème !
Bon, ce n’est pas grave, maintenant, j’aimerais récupérer mes contacts, que j’ai sauvegardé. Après grande discussion avec la hotline, et après avoir testé par moi-même, conclusion : pour pouvoir récupérer ses contacts d’un ancien téléphone comme le Sony Ericsson Vivaz, il faut obligatoirement passer par Outlook, y déposer ses contacts, et les réimporter sur le nouveau portable :
Cela ne fonctionne pas avec Outlook Express. Oui, vous ne rêvez pas : il est impossible d’éviter les systèmes propriétaires. Alors dans ce cadre, ils offrent une nouvelle possibilité : synchroniser avec Gmail. Enfin quelque chose qui pourrait fonctionner : google fait toujours du bon boulot !
Je configure donc mon compte email dans l’application « PC Companion », et là… importation de tous les contacts que j’ai dans Gmail : tous les contacts ! 1150 adresses email, dont 1100 qui ne me servent à rien et dont je n’ai rien à cirer ! Bon pas grave. Je retourne sous Gmail, j’ajoute quelques numéros de téléphone, je resynchronise. Tout fonctionne. J’ouvre mon téléphone, je clique sur « contacts » et là :
Depuis deux jours je n’ai absolument aucune idée de comment afficher les 1150 adresses, qui, soi-disant, ont été importées dans mon téléphone.
Pour être honnête, je n’aurais jamais publié cet article si jamais je n’étais pas arrivé à l’épisode que je vais vous citer, la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. J’ai tendance à penser que si je n’y arrive pas, il y a 99% de chances que ce soit ma faute. Mais là, ça dépasse l’entendement.
Je le redis encore une fois : le principe de toute interface homme machine (IHM) correcte : une IHM bien conçue est immédiatement comprise par l’utilisateur. Immédiatement.
J’ai voulu écrire un SMS rapidement. Je commence à le taper, tout va bien puis j’appuie en haut pour rentrer le numéro. Tout va bien :
Là je m’aperçois que je me suis trompé dans un des chiffres. J’appuie sur le numéro de téléphone, et ce menu s’ouvre :
Regardez bien le menu. Il est impossible de valider le numéro de téléphone. Impossible. Juste une check verte « ok » sur laquelle cliquer, ça semble trop simple à faire. C’est le summum de la connerie humaine. Sur les six personnes à qui j’ai demandé de trouver une solution, personne n’a trouvé.
Regardez les possibilités offertes :
Appel : je ne veux pas appel bordel je veux juste valider ce numéro !
Enreg. : je ne veux pas enregistrer ce numéro je veux juste le valider !
Téléphone : ca n’a aucun effet si on appuie dessus ;
Jrnl d’appel : ça affiche le journal d’appel : qu’est ce que je m’en cogne, je veux juste valider ce numéro ;
Contacts : ça affiche les contacts : qu’est ce que je m’en cogne, je veux juste valider ce numéro ;
Favoris : ça affiche les contacts favoris : ils le font exprès ou quoi, je veux juste valider ce numéro ! ! !
Donc, tenez vous bien, ce que je dis est hallucinant mais vrai, donc je l’écris en gros et gras :
en 2011, sur le tout dernier téléphone Sony Ericsson Xperia Arc / système Android Gingerbread, il est impossible de modifier simplement un numéro de téléphone que le portable ne connait pas si on veut envoyer un SMS.