Catégorie : la vie sur le net

Microsoft Windows Seven : Réseau public en réseau privé

Panne d’électricité : la Freebox redémarre. Mon PC sous Windows Seven redémarre. Et là, plus de réseau : le réseau n’est plus un réseau privé, c’est un réseau public : Windows affiche « Réseau non identifié = réseau public ».
Résultat : je fais cet article… sur mon portable Ubuntu, qui, lui fonctionne absolument parfaitement.
Et croyez moi, j’ai du mal à ne pas insulter Microsoft. Qui aurait cru un jour que j’utiliserai Ubuntu pour dépanner ce ** de Windows Seven ?
Cela fait 4 heures que je cherche sur le net en ayant essayé toutes les solutions, et voici celles qui m’ont parues les plus logiques, mais (enfin dans la logique Windows) sans succès :
– supprimer l’IPv6 qui peut éventuellement poser des conflits avec l’IPv4 ;
– supprimer la carte réseau afin qu’elle soit redétectée et réinstallée ;
– supprimer le mot de passe de compte administrateur ;
– et j’en passe et des meilleures.

La solution que j’ai trouvé ? J’ai récupéré, grâce à mon ordinateur portable, le DVD de Ubuntu 10.04, j’ai booté avec l’ordinateur dessus, et là, ça ne fonctionnait pas du tout. Donc le message, cette fois ci, était clair : problème de carte réseau. Point à la ligne, merci au revoir. Si j’avais eu Ubuntu, au lieu de perdre 8 heures, j’aurais compris en 5 minutes le problème. Et Microsoft a fait tout un document expliquant que si on migre sur Linux on va perdre du temps ? Je pense qu’il y a des fois où c’est complètement faux…

Conclusion finale : mon PC s’est grillé sa carte réseau à cause de la coupure de courant, mais Windows, au lieu de me donner des indications claires, par exemple

impossible d'atteindre un serveur DHCP

ou d’autre messages beaucoup plus clairs, m’a dit qu’il avait découvert un réseau mais comme il ne savait pas l’identifier, que ce réseau était un « réseau public ». Donc, logiquement, comme il avait découvert un réseau, on pense que la carte réseau fonctionne, sinon il n’aurait jamais découvert de réseau ! Mais ce n’est pas le cas. Conclusion : une journée complète de perdue à cause de messages pas du tout explicites, destinés à des débutants, mais comme les débutants n’y comprennent rien, ces message, en pratique, ne servent à rien. Vive Windows.

Facebook en ligne de commande : le howto !

Traduction de l’article ici :
http://fbcmd.dtompkins.com/

C’est tout simplement un bon script en php, à lancer en ligne de commandes. Bon, comme le dit l’auteur, il ne faut surtout pas en abuser et faire un bot qui irait aspirer plein d’informations, hein !

Le Commodore 64 est de retour !

Voici, comme à mon habitude, une traduction de quelque chose que j’ai particulièrement apprécié. Comme d’habitude, pour mes quelques 300 lecteurs abonnés à mes flux, cela ne concerne qu’une infime partie de la population : ceux qui veulent bidouiller, et / ou, ceux qui connaissent le Commodore 64.

Le nouveau Commodore 64 vu de face

Le Commodore 64 est de retour, et il laisse la version de 1982 dans la poussière !

Le Commodore 64 était une excellente machine 8 bits, et le second de ma jeunesse.
Il semblerait bien qu’il fasse un come-back en 2011 !
Commodore USA a fait un truc super sympathique : ils ont mis un mini PC embarqué (Mini-ITX) dans la coque d’un Commodore 64. Il est donc possible de démarrer sur un système classique de type Windows ©, ou de charger l’OS Commodore 1.0, avec une sélection de jeux classiques, quelques applications et tout un paquet de programmes open-source. Il semblerait que cette dernière option arrive un peu plus tard, mais pour l’instant la machine est livrée avec un copie d’Ubuntu 10.04.

Le nouveau Commodore 64 vu de dos

Alors, comparé au modèle originel, qu’y a-t-il de mieux ou de moins bien ?

C64 (prix : 595 dollars en 1982, soit 1367 dollars ajourd’hui)

  • Processor 8-bits 6510 à 0.985MHz, technologie MOS
  • 64 Kb RAM (38Kb pour les programmes BASIC)
  • Chipset graphique VIC-II, technologie MOS (16 couleurs, 112 sprites maximum)
  • Chipset sonore SID, technologie MOS

C64x (Price: starting at $595)

  • Processur Intel Atom 1.80GHz
  • Jusqu’à 4Gb RAM
  • Chipset graphique Nvidia ION2 (nombre illimité de sprites (enfin on suppose))
  • Audio 6 canaux Realtek HD

Je ne vais rentrer plus dans les détails, mais les nostalgiques vont se régaler !
De plus, le clavier n’était à l’époque pas mauvais, surtout comparé aux claviers d’aujourd’hui !

L’article original est ici.

Mathieu Robin et jQuery : un site à voir

J’ai laissé quelques commentaires sur un site que j’ai trouvé sympa, et depuis j’ai parlé plusieurs fois avec le créateur du site. Il a de très bonnes idées et fait plein de choses, et surtout en ce qui me concerne car j’aime les nouveautés, il suit de très près tout ce qui concerne jQuery.
Si, vous aussi, vous voulez suivre ça de très près, allez jeter un coup d’oeil, c’est lisible et sympa. Il m’a en plus mis dans les sites à visiter alors, hein, bon. Cliquez sur l’image pour y aller :

Olivier Pons en marque page chez Mathieu Robin

Gemcraft nouvelle version : Gemcraft Labyrinth

Mon jeu / Casse tête favori est de retour !
Bien évidemment avec plein de nouveautés et une durée de vie encore démultipliée, ce qui va en faire des nuits blanches (car la nuit est bien la seule chose qui me reste avec mes deux petits ><)

Pour ceux qui ne savent pas ce qu’est ce petit casse tête génial du type « Tower defence », je vous renvoie à ma petite page d’explications ici.

Gemcraft Labyrinth - page de présentation

Tout d’abord, la taille de tous les labyrinthes à résoudre : 13×13 = 169. Oui oui vous avez bien lu, cent soixante neuf niveaux, ce qui, rien que le temps de les faire d’affilée, donne déjà une bonne trentaine d’heures. Voici la carte principale lorsqu’on débute (je les ai presque tous terminé, mais je ne vais pas vous montrer la carte entièrement remplie :!) :
Gemcraft Labyrinth - page de la carte des labyrinthes

Ensuite, pour chaque niveaux, pas grand chose de changé visuellement, et on en est bien content, car c’était déjà tellement bien qu’il n’y avait presque rien à améliorer :
Gemcraft Labyrinth - page d'un niveau à résoudre

Mais là où ça commence déjà à démultiplier la durée de vie, qui je vous le rappelle, de base, est déjà d’une bonne trentaine d’heures, c’est que pour chaque niveau, il est possible de le résoudre en y ajoutant des difficultés supplémentaires, qui vont rendre le niveau à la fois plus dur, mais qui va vous apporter de l’expérience supplémentaire afin de vous faire progresser :
Gemcraft Labyrinth - challenges possibles à résoudre

Vous pouvez changez, pour chaque niveau :

  • Le nombre de monstres ;
  • La résistance des monstres ;
  • La composition des vagues de monstres ;
  • Le nombre de vagues de monstres ;
  • Des challenges qui rajoutent encore à la difficulté.

Le plus grand changement

Il est maintenant possible de « construire » le chemin en posant des tours et autres là où on veut, de manière à former un chemin.
Ça ajoute un élément énorme au gameplay et on a envie d’y jouer encore plus longtemps !
Je ne sais pas si je me suis bien exprimé, alors deux images valent mieux de des tonnes d’explications :

Voici une carte à faire, au début, complètement vide :
Gemcraft Labyrinth - challenges possibles à résoudre

Et voici la carte pendant le jeu :
Gemcraft Labyrinth - challenges possibles à résoudre

Il est donc possible de faire des chemins comme on veut, de « couper la route » afin de faire passer les vagues de monstre uniquement par des endroits que l’on désire.

Et je ne parle pas de toutes les petites améliorations qui sont subtiles mais qui augmentent encore le plaisir de jeu : par exemple, le fait que les cartes démarrent en mode pause et qu’on peut ainsi tranquillement réfléchir et poser les éléments et se préparer tranquillement. Le fait qu’on puisse cliquer sur un monstre pour dire « tout le monde sur lui » et donc les tours essaieront en priorité de le descendre. Il y en a encore et encore, mais cet article est déjà suffisamment long pour, je l’espère, vous avoir donné l’eau à la bouche.

Y a-t-il des défauts ? Très honnêtement je n’en ai pas trouvé. Il semblerait même que du point de vue de la vitesse, tout ait été encore plus optimisé que la version précédente. Bref, que du tout bon. Et pour quelque chose de misérable comme 5 euros, vraiment, un seul conseil : précipitez vous dessus et faites comme moi : payez ceux qui le méritent !

DAS Keyboard Ultimate S : le test

Voici le vrai, l’ultime clavier de geek, celui que tout le monde attend avec impatience : j’ai nommé : le DAS Keyboard Ultimate S (S pour « Silent »).
Attendez, je crois que je ne l’ai pas écrit avec les lettres qui vont avec :

DAS Keyboard Ultimate S

Voici les photos :
DAS Keyboard - vue générale

DAS Keyboard - la touche Linux

Pour résumer, le DAS Keyboard est aux claviers ce que les voitures de collection sont aux voitures : il n’y que les connaisseurs qui pourront apprécier, les autres ne sauront que critiquer de manière négative.
Bien sûr, dans ce cadre, plein de personnes vont penser « un clavier sans rien d’écrit dessus, n’importe quoi ! ».
Ou encore : « mais bon sang qu’est-ce qu’il est bruyant ! ».
Euh oui et non.
D’une part, je dois avouer que le toucher est absolument, comme tout le monde le dit (en Anglais ou en Allemand, mais pas en Français), excellent. C’est comme certaines bonnes choses : ça ne s’explique pas. Il n’y a qu’en pratiquant qu’on peut comprendre.
En fait, si on se renseigne vraiment, on peut comprendre techniquement le pourquoi de cette sensation si agréable. Notamment, concernant le principe des switches « Cherry MX ». Pour la note, j’ai acheté la version « Silent », donc celle qui a les switches « Cherry MX » bruns, et non pas bleus. Ils sont nettement moins bruyants, mais je dois avouer qu’ils sont tout de même bien plus bruyants que la plupart des claviers. Le son n’est pas si désagréable pour moi, disons même… surtout pour moi parce que je suis assez sensible au son. Et quand on développe, tout son qui pollue me gêne.

Clavier Azerty qui n’est pas prévu pour la programmation

Le seul hic ? Le seul gros hic ? Il n’est pas prévu pour la programmation. Avec notre super bonne mentalité et nos super bonnes idées, la plupart des caractères utiles en programmation sont difficilement accessibles. Comparez un clavier « Qwerty » et ses accolades, {} ou encore ses crochets [], c’est très facile à atteindre, alors qu’avec un clavier « Azerty », on ne peut taper que sur la touche AltGR, qui est située à droite. Donc on est obligé d’utiliser la main droite, même dans les cas où on devrait pouvoir se servir des deux mains.

Bon bref, pour l’instant, j’aime beaucoup taper avec, j’ai l’impression de faire nettement moins de fautes, et vraiment je n’ai pas à me plaindre. Par contre, c’est un fait, il n’est pas prévu pour le développement. En effet, sous vim, où on n’a pas le droit à l’erreur quand on tape les ordres, c’est assez frustrant, parce que je fais très souvent des retours en arrière, des « undo ». Disons, peut être qu’avec le temps, si j’arrive à me faire aux touches, je me détacherai définitivement les yeux du clavier, et je reviendrai éditer cet article (sourire).

Attention, par rapport au prix : il faut savoir au moins une chose : ce clavier a la possibilité de faire du « full N key rollover ». Pour simplifier au maximum la chose, disons que si on tape plusieurs touches en même temps, comme c’est le cas pour beaucoup de jeux, le clavier sait toujours parfaitement gérer tout ça et vous n’aurez jamais plus le fameux problème du clavier qui « stoppe » en bipant. C’est ce genre de détails qui font toute la différence entre un clavier à 15 euros et un clavier à 150 euros. Euh… oui oui il vaut bien 150 euros.

AdBlock : petit guide sur le don

Avec le temps, je commence à acquérir une mentalité un peu moins latine, c’est à dire que, par définition, dans les pays latins, si on peut avoir quelque chose gratuitement, ça ne sert à rien de payer. Le volontariat n’existe pas dans les pays latin. Vous connaissez peut-être le proverbe « je ne fais pas ça pour la gloire », un proverbe typiquement de nos contrées. Bien évidemment, c’est une généralité, et j’espère vivement que vous ne vous sentez pas concerné.

Pourquoi ce billet ? Tout simplement parce que j’ai donné 10 dollars, soit 10 euros à un type qui a fait le plugin le plus géniallissime de tous les temps, j’ai nommé : AdBlock. Oui, il bloque toutes les pubs qui nous pourrissent la vie. Il les cache. Il a développé le plugin sur Chrome, puis sur Safari, après s’être inspiré d’Adblock Plus sur Firefox. Ce type a changé ma vie d’internaute acharné. 10 euros c’est rien comparé à ce qu’il a fait pour moi. J’arrive enfin à lire ZDnet sans avoir envie de casser mon écran ! Bon ok j’éxagère un peu (à peine).

Je traduis pour les impatients (et après suit le mail original) :

Salut Olivier !

J’ai écrit AdBlock dans l’espoir que je pourrais rendre la vie des gens un peu plus agréable. Ton don m’incite à penser que j’ai réussi 🙂
Merci, merci merci beaucoup tu es si sympa !

Ces derniers mois je suis particulièrement inquiet parce que j’ai quitté mon travail en espérant que tous les utilisateurs donneraient assez pour m’aider moi et ma famille à vivre, et m’aider à continuer le développement. Peu de gens ont donné, actuellement, ce qui rend ton don encore plus appréciable — ton don est largement au dessus ce que la plupart des utilisateurs donnent (zéro).

Dans mon cas, Katie et moi avons décidé que le travail fait est tellement important qu’il faut que je continue, que je puisse vivre uniquement des dons ou pas, jusqu’à ce que je n’aie plus aucune réserve. Ton don m’éloigne un petit peu plus d’une situation de fauché… au fait je t’ai dit merci ? Merci ! 😀

Bon blocage de pub,
– Michael

PS : Si c’est possible, pourrais tu aller à http://chromeadblock.com/donate/thanks/ et en parler ? J’ai essayé de mettre quelque chose en place pour que PayPal le montre automatiquement après que tu aies donné, mais ça n’a pas l’air de fonctionner correctement.
En tous les cas, cela m’aiderait ENORMEMENT 🙂

Ci suit son mail de réponse :

Hi Olivier!

I wrote AdBlock in the hope that I could make people’s lives better. Your
donation tells me that I did it 🙂 Thank you very, very much! You are so
great!

It’s been a little scary in the few months since I quit my job, hoping that my
users would donate enough that I could support my family and fund more AdBlock
development. Not many users donate yet, which makes your donation even more
appreciated — your donation is way above what most users give: zero.

In any case, Katie and I have decided that it’s important enough work that I
should keep doing it whether we can live off of donations or not, until we
start running out of savings. Your donation just tipped the scales a little
further away from going broke… did I say thank you yet? Thank you! 😀

Happy ad blocking,
– Michael

PS: If you don’t mind, would you go to http://chromeadblock.com/donate/thanks/ and help me spread the word? I tried setting it up so PayPal would show you
that automatically after you donated, but it doesn’t seem to work reliably.
Anyway, it would help me IMMENSELY 🙂

Comment laisser un message directement sur un répondeur ?

Voici enfin la compilation géniale qui fonctionne, je l’ai testée sur les trois opérateurs :

  • Si la personne est chez Orange: 06 80 80 80 80
  • Si la personne est chez SFR: 06 1000 1000
  • Si la personne est chez Bouygues: 660 + n° de votre correspondant

A vous les méga excuses du genre « mais bon sang je ne fais que de t’appeler, bon tant pis, écoute, je pars sans toi, tu n’est pas joignable ».

Voici enfin la compilation géniale qui fonctionne, sans passer par le site repondeurdirect, qui est pour moi du vol.