Pour ce qui suit, vous pourrez trouver l’article ici :
Jeudi 23 juillet 2015, le Conseil constitutionnel a jugé conforme la loi qui ouvre la France à une surveillance de masse de ses citoyens.
L’excuse invoquée est : « renforcer la lutte contre le terrorisme ».
Comment peut-on avoir plus de dix huit ans et croire encore que nos politiciens actuels essaient vraiment de faire de la lutte contre le terrorisme ?
Réponse : c’est impossible.
Conclusion implicite : tous ceux qui sont « pour » cette loi, qui permet une surveillance de masse de ses citoyens, sont simplement pour la politique actuelle.
Personnellement, tant que la transparence sur les salaires, et toutes les primes, ainsi que tous les avantages de toutes les personnes au pouvoir ne seront pas mis à disposition sur Internet, comme c’est par exemple le cas en Suède, je serai contre toute politique, dont la fin est inévitablement d’avoir le pouvoir afin de faire ce que l’on veut, et non pas afin de servir les citoyens.
Actuellement, cette loi n’a qu’un seul effet : laisser la possibilité à notre gouvernement de censurer ce qu’il veut sous prétexte de « terrorisme ».
D’autres personnes, très compétentes en informatiques, râlent bien plus :
Pour ceux que ça rend complètement dingue, comme moi, de :
laisser l’ordinateur allumé le soir et de lancer des téléchargements (réinstallation de programmes = 60 Go à récupérer via steam, entre autres),
pire, un document Pspad ou Notepad (qui ne font pas de copie de sauvegarde) ouvert,
quand vous arrivez, il ne reste affiché qu’une chose à l’écran
ceci :
Vous avez une seule envie : jeter votre ordinateur par la fenêtre.
Ah oui, pour la note : Linux ne fait jamais ça.
La solution
Étape 1
Allez dans le menu Démarrer et choisissez «Exécuter».
Puis tapez «gpedit.msc».
Comme ceci :
Là, un programme s’ouvre avec deux choix, choisissez : «Stratégie Ordinateur local».
Étape 2
De là, il y a des dossiers à gauche.
Allez dans :
»Configuration ordinateur
» » Modèles d’administration
» » Composants Windows
» » Windows Update
Comme ceci :
Étape 3
Double cliquez sur «Pas de redémarrage automatique avec des utilisateurs connectés pour les installations planifiées de mises à jour».
Comme ceci :
Étape 4
Choisissez «Activer»
Comme ceci :
Oui, pour moi cette dernière étape est une étape complète, car c’est la libération !
Pour information, je cite la description :
Spécifie que pour terminer une installation planifiée, le service Mises à jour automatiques va attendre le prochain démarrage de l’ordinateur par un utilisateur connecté au lieu de provoquer un démarrage automatique.
Si le statut est configuré à Activé, le service Mises à jour automatiques ne va pas redémarrer un ordinateur automatiquement pendant une installation planifiée si un utilisateur est connecté à l’ordinateur. Il invitera simplement l’utilisateur à redémarrer l’ordinateur.
N’oubliez pas qu’un redémarrage de l’ordinateur est nécessaire pour que les mises à jour soient effectives.
Si le statut est configuré à Désactivé ou Non configuré, le service Mises à jour automatiques va avertir l’utilisateur que l’ordinateur va redémarrer dans 5 minutes pour terminer l’installation.
Remarque : cette stratégie s’applique uniquement lorsque le service Mises à jour automatiques est configuré pour effectuer des installations planifiées de mises à jour. Si la stratégie « Configuration du service Mises à jour automatiques » est désactivée, cette stratégie n’a aucun effet.
Après bon nombre de commentaires, voire d’insultes (si si), je résume l’article qui suit :
Vous allez toujours entendre le même discours pour ceux qui commencent avec Symfony et qui n’ont jamais vraiment développé d’autres choses, qui est quelque part logique : Symfony c’est génial, c’est super, c’est la réponse à la vie, l’univers, et au reste, il aurait dû s’appeler « Php – 42 » ou quelque chose comme ça (et si vous ne comprenez pas l’allusion c’est qu’on n’a ni le même background, ni le même humour). C’est, de plus, très souvent le genre de personnes qui n’admettent pas qu’ils n’ont pas d’expérience et cela finit à l’insulte ou au pugilat.
S’ils avaient vraiment pratiqué d’autres choses, il verraient qu’il y a plein d’autres trucs ailleurs, et ils verraient qu’à d’autres endroits il y a des choses mieux.
Ceux qui n’ont pas d’expérience mais l’esprit ouvert me demandent ce qu’il y a comme autres choses à tester, et je leur réponds avec plaisir ! Ceux qui n’ont pas d’expérience et ont besoin de justifier leur existence diront « c’est un gros con il est dépassé il n’y comprend rien ». Je ne donne des cours que pour les premiers. Les autres je les laisse faire alt-tab en permanence entre Facebook et Symfony (et si vous saviez tout ce que je pense quand je parle ainsi…).
Après avoir développé deux applications relativement basiques, voici les inconvénients que j’ai relevé de Symfony :
Twig : c’est la seule chose qui semble vraiment pratique, utile et optimisée dans Symfony. A tel point que Zend l’utilisera comme moteur de templates, et Drupal 8 aussi. Un bon point pour Symfony, et le seul. Voici la suite.
Symfony prône les bonnes pratiques – ce qui est louable – pourtant j’ai dû faire trois fois du copier coller pour que ça fonctionne… Exemple le plus frappant : la bonne pratique (louable) est de séparer totalement la vue du modèle, et du contrôleur. Mieux : ils ont fait un endroit où on écrit toutes les requêtes complexes, afin de les séparer du modèle : ce sont les Repositories. Problème concret : quand on a un type fichier dans un formulaire qui est envoyé, le type « file » est posté. Si on veut écrire le fichier envoyé, ça passe par un contrôleur, et c’est lui qui est censé l’écrire en base de données ? Non ! Donc c’est côté de la base de données, côté modèle donc. Mais… les entités ne peuvent pas accéder à leur propre repository ! Si vous vous retrouvez dans ce cadre (hypra courant) alors vous allez devoir bidouiller, et créer une fonction statique qui renvoie le manager d’entités et demander à ce dernier de récupérer le repository de la classe en cours. Véridique. Bidouillage, bidouillage, bidouillage. Pourtant, j’insiste : Symfony prône les bonnes pratiques et essaie de faire au mieux, mais il échoue assez… attendez je cherche le qualificatif exact… j’ai trouvé : il échoue lamentablement.
Je pensais gagner du temps avec le bundle FOSUser. Faux ! En théorie il est censé simplifier la vie à mort et faire gagner énormément de temps. En pratique, c’est comme Symfony, il va vous falloir entrer dans son coeur, comprendre comment il a été écrit afin de pouvoir vous en servir. Exemple concret là aussi : il n’est fait que pour un seul type d’utilisateurs. Si on en veut plusieurs, il va vous falloir installer un bundle supplémentaire : le PUGXMultiUserBundle. Quelques heures plus tard après l’installation et la configuration, on m’a demandé de créer un rôle modérateur, qui doit pouvoir valider les fiches d’inscription, c’est à dire pouvoir afficher n’importe quelle fiche. Je ne peux même pas vous expliquer comment faire, car j’ai demandé aux experts Symfony – ce sont des personnes qui m’ont sous-traité le second travail que j’ai fait sur Symfony, de le faire eux même parce que je n’en pouvais plus de perdre autant de temps inutilement. J’ai beau chercher, mais un bon développeur Php va perdre beaucoup plus de temps à rechercher tout ça, installer, comprendre le fonctionnement, copier coller puis modifier le code, plutôt que de le faire direct à la main, avec des variables dans $_SERVER pour suivre quelques infos.
Symfony et le redimensionnement d’images. Je voulais juste, une fois qu’une image est arrivée en base de données, créer une vignette de cette dernière, afin de pouvoir l’afficher plus rapidement. J’ai donc cherché et voici le résultat – vous noterez bien qu’il est affligeant si on veut simplement redimensionner une image : en théorie :
il faudrait mettre en place un service,
à partir de ce service, aller chercher des informations,
mettre en place toute une configuration, avec un système de hook (les « écouteurs »)
… bref, refaire des milliers de choses d’une inutilité absolument affligeante, tout ça pour faire un simple resize. Après avoir passé plusieurs heures à installer le LiipImagineBundle : et m’être aperçu que pour faire un resize, il fallait déclarer vouloir utiliser un service dans ‘app/config/config.yml’, je vois qu’il y a un exemple qui est censé fonctionner sur stackoverflow ici. Et puis là le code qui fonctionne utilise getRequest(). Et le container. Moi j’en avais besoin dans l’entité, car c’est ici qu’on écrit les informations en base de données. Pour pouvoir accéder à un container dans une entité, il faut faire un méga hack, ou pire (lire les deux réponses ici). La seule réponse viable c’et de.. créer un service ! Non mais allô quoi ! Juste pour un crop ! Vraiment on est en plein délire. Hop, top chrono : google =» php imageresize, copier coller, et en moins de 5 minutes, tout fonctionnait. Symfony clame haut et fort qu’il vous fait gagner des heures de boulot ? C’est une blague, une grosse blague ! Posez les pieds sur terre, voici la réalité concrète du terrain : Symfony essaie de pousser encore et encore l’abstraction à son maximum mais on arrive à des non-sens comme celui-là : une entité qui appelle deux services différents, surchargés à mort, des centaines de lignes de code totalement inutiles, juste pour faire un resize. C’est tellement grossier comme problème qu’on en arriverait presque à croire que c’est faux… mais c’est vrai, et les liens que j’ai mis sont bien là pour le prouver.
Doctrine est quelque chose… que je ne comprends pas. Il a été crée pour « optimiser » les requêtes. Déjà, rien que d’écrire ça, c’est inévitablement un non sens : on n’optimise pas les requêtes via du Php… À moins que je ne me trompe, on n’a jamais besoin d’optimiser les requêtes à ce niveau ! L’optimisation et la mise en cache doit se faire au niveau du moteur de bases de données. Pourtant, là, on doit écrire du SQL, mais pas vraiment. Olivier arrête de dire n’importe quoi me direz vous. Pourtant ça n’est pas une blague, lisez tout ça ici. Tout y est expliqué : ils ont « surchargé » l’écriture de requêtes, afin de… pouvoir optimiser les requête et mieux faire du cache. Si si. Et ils ont même inventé un concept super novateur, que personne ne connaissait avant (grincement de dents cynique), j’ai nommé : l’hydratation (ou en anglais : « hydration »). Non non, j’insiste, arrêtez de rigoler, c’est pas une blague, ils prennent ça très au sérieux là bas, regardez sur la documentation officielle et cherchez « hydration ». Par contre pour bosser il faut absolument savoir ce que ce mot d’une débilité profonde – au sens informatique – signifie : j’ai mené un entretien d’embauche avec une personne (qui se disait expert), et comme je n’ai pas parlé d’hydratation des données, ça ne lui a pas plu. Bon quand je dis « expert », il faut dire qu’il s’était fait dégager à grands coups de pieds au derrière par sa précédente boîte… j’arrête là je vais être méchant 😉
Avec Doctrine, on se prend tout le temps la tête sur les requêtes, ce qui fait qu’au final, comme jamais rien ne fonctionne comme on voudrait avec Doctrine, on se retrouve à vouloir connaitre quelle est la vraie requête faite en base. Voir ici. Réponse officielle : on ne peut pas. On ne peut pas voir les requêtes qui sont envoyées au moteur de base de données. Mais si continuez de lire, arrêtez de pleurer de rire ! Allez vous chercher un mouchoir, essuyez-vous les yeux et revenez.
Doctrine est censé simplifier la vie en proposant un modèle d’héritage. Exemple de ce que j’ai réalisé : une personne est la classe de base, et de là descendent les professeurs et les étudiants. Pourtant il est lourd. Très lourd. Très (très³²) lourd. Tellement lourd, que même sur la documentation officielle ils reconnaissent que Doctrine est lourd. La preuve sur la documentation officielle. En fait il est censé simplifier la vie du développeur, mais avec Doctrine il faut une machine énorme pour pouvoir faire tourner la moindre requête un tant soit peu complexe.
Pire. Encore bien pire (si c’est possible !). Si, comme moi, vous voulez utiliser des requêtes comprenant des calculs de distance, il vous faudra utiliser des fonctions mathématiques et là, de base, Doctrine ne connait rien, et il vous faudra passer quelques heures à installer un bundle dans votre installation, en modifiant pas mal de fichiers un peu partout. Si, là aussi, essuyez vos larmes de rire et lisez bien ce qui suit, car c’est vrai : il est impossible de faire immédiatement cette requête sous Symfony : "SELECT COS(5) as distance;". Non non ça n’est pas une blague, c’est du sérieux. Voir tout mon article détaillé ici.
Symfony est tellement complexe qu’il faut absolument avoir un débogueur intégré tel que xdebug et pouvoir faire du pas à pas dans un environnement tel que PhpStorm qui donne la possibilité de suivre tout, avec la pile d’appel. Rendez vous compte : pour développer un site Web simple, des frameworks comme symfony sont tellement complexes qu’il faut obligatoirement pouvoir faire du pas à pas. Ce sont des experts Symfony qui me l’ont expliqué. Sur le coup j’ai sincèrement (honnêtement, ce n’est pas ironique, c’est véridique) cru que c’était une blague. Php est tellement simple et fluide quand il est bien développé que je n’ai jamais eu à utiliser de débogueur pas à pas en plus de dix ans ! Et ma dernière prestation était en tant qu’expert Web chez Business & Décision, prestation pour la banque, et on n’a jamais eu besoin de faire du pas à pas ! D’ailleurs pourquoi je me justifie ? N’importe quel béotien doit se douter de ça…
Je n’ai pas le temps de lister toutes les autres choses qui m’ont fait perdre un temps fou. J’ai vendu un site que je comptais faire en maximum dix jours, et je l’ai fait en un mois. Symfony était tout bonnement un mauvais choix.
En conclusion :
Symfony est censé faire gagner du temps mais en pratique, on est obligé d’apprendre la globalité de tout le framework et au final on ne gagne absolument pas de temps, et bien pire : si le projet est petit, il faut à tout prix éviter des usines à gaz telles que Symfony.
Pour la petite note, les personnes qui m’ont sous traité le projet – qui tourne bien actuellement – ont été déçues parce que je n’ai pas tenu mes délais, et que mes premières livraisons n’étaient pas de bonne qualité – alors que je « semblais » compétent. Je ne jette pas tout sur Symfony, mais bon sang quelle grossière erreur de ma part ! Pour vous donner une idée de comparaison : j’ai terminé en 3 jours un site qui devrait être mis en ligne incessamment sous peu : un site spécialisé la constatation fiable de sites Web. Il contient :
Un formulaire d’inscription contenant tout ce qu’il faut (CSRF protection, re-Captcha etc) ;
Un outil complet de capture d’écran basé sur du Webkit (très gros boulot) ;
Du code pour gérer un multi-partenariat en marque blanche ;
Du templating Smarty pour modifier l’habillage rapidement ;
Une documentation entièrement compatible PhpDocumentor ;
Une classe (assez longue) pour le traitement des images (archivage, signature chiffrée etc) ;
Un ORM qui :
ne fait des requêtes que quand c’est nécessaire,
fait des requêtes en SQL pur. Ouf, je respire, des heures entières de gagnées.
délègue au maximum à la base de données, ce qui est absolument vital pour avoir une application stable, rapide et pérenne sur le temps.
Une classe simple d’envoi de mail, avec la possibilité d’envoyer le texte alternatif (= si jamais le client ne peut pas lire du HTML, on peut préciser le texte). MerciPHPMailer, un outil simple, ultra facile d’utilisation, et utilisé dans ma classe, finit par un code ainsi :
Tout est tracé et archivé, aussi bien en base que dans les captures d’écran, et tout est prévu pour une grosse évolution : un compte, ce compte pourra avoir plusieurs emails, plusieurs captures, toutes les connexions – réussies ou échouées – sont déjà tracées, ils pourront avoir une ou plusieurs adresses etc.
Faire la même chose avec Symfony ? Je vous laisse estimer le temps de faire les estimations, le cahier des charges, le devis, le développement, mais attention, grâce à Symfony vous allez gagner énormément de temps : Symfony peut générer le CRUD pour l’administration en ligne de commande, regardez ici. Oulah que de temps gagné ! Sachant que je génère un custom getter-setter en 3 touches avec vim, même s’il y a plusieurs centaines de champs, et plusieurs dizaines de tables, je ferais ça « à la main » au maximum en une journée… enfin bon en comparant avec Symfony je peux dire sans éxagérer : sans Symfony, une journée de perdue, mais dix d’économisées ! Mais pourquoi je continue à essayer de prouver que Symfony ne fait jamais gagner de temps, moi ? Même ces personnes expertes Symfony ont décidé de le laisser tomber et de n’utiliser que Silex pour tous leur nouveaux projets à moins qu’ils n’aient vraiment besoin de choses spécifiques à Symfony… et personnellement je n’arrive pas à voir ce que Symfony a de si spécifique dont on ne peut pas se passer 🙂 … A l’inverse, je vois vraiment toutes les raisons pour lesquelles on peut se passer de Symfony.
Petite information (valable au jour même de ce billet) :
Si vous achetez des noms de domaine :
chez ovh.fr vous ferez tout ce que vous voulez avec vos noms de domaines : c’est long mais c’est le meilleur rapport qualité prix ;
chez gandi.net vous ferez tout ce que vous voulez avec vos noms de domaines et vous pourrez même faire des « modèles » de vos configurations DNS pour les appliquer partout (pratique quand on a plein de noms de domaines) ;
chez oneandone.fr (ou 1and1.fr) vous serez limité à dix sous domaines pour la totalité de votre compte !
Les sites que je fait sont très optimisés et se servent, notamment, de la fonctionnalité de séparation des sous domaines pour télécharger en parallèle (voir les conseils de YSlow).
Donc pour un site, j’ai les préfixes « s » comme « static » puis un chiffre de 1 à 4. Et les préfixes de la langue (« fr », « us » etc).
Donc pour ce partenaire, j’ai ces préfixes :
fr.pizzamis.fr
fr.s1.pizzamis.fr
fr.s2.pizzamis.fr
fr.s3.pizzamis.fr
fr.s4.pizzamis.fr
Cinq préfixes. Pour la version téléphone mobile, même chose : cinq préfixes.
Sur gandi, même chose que sur ovh : pas besoin de configurer les préfixes : on configure en mettant « * CNAME . » et tout fonctionne.
Ici, voici le résultat :
Oui oui vous avez bien lu :
10 utilisés sur 10 disponibles.
Après, à vous de juger, je dis ça, mais c’est un constat, tout est objectif !
Je n’ai pas dit de ne jamais aller chez oneandone.fr (ou 1and1.fr) 😉 !
J’ai reçu une demande d’invitation pour mon anniversaire.
Je coche « oui », et là on me dit qu’une connaissance a… des connaissances qui vont avoir un anniversaire bientôt.
La connaissance, c’est «%1». Je ne sais pas si vous connaissez beaucoup de «%1» ?
Moi oui, mais en développement, pas dans la vie de tous les jours !
Voici le résultat de ma commande de petits Lego pour ma fille :
Que dire et qu’en penser ?
Je vous laisse le choix, pour ma part je me suis fait mon opinion…
sachant qu’en plus, pour en rajouter une couche de la taille de la croûte terrestre, c’est de l’ASP…
Une personne aussi peu contente que moi (j’en parle longtemps ici et beaucoup de gens sont dans mon cas), et que beaucoup d’autres, du montage réalisé par Placarissimo et leur manque total de communication, et allée râler sur RTL2.
Je n’ai gardé que la conversation concernant les agissements de Placarissimo. Cliquez ici pour télécharger la discussion complète. Elle va sûrement être longue à charger mais ça en vaut la peine. Notez, par exemple, que la standardiste ne sait rien et qu’elle prétend n’être que la standardiste, ce qui en réalité, n’est absolument pas le cas, elle se charge de beaucoup d’autres choses. Encore plus flagrant et plus lourd, elle dit que le directeur est en vacances à l’étranger, qu’il est absolument injoignable, mais quelques minutes après, comme par un grand hasard, il est au standard de RTL2. Décidément, rien n’a changé et c’est toujours une équipe de bras cassés qui ne fait rien pour garder les gens compétents (comme l’explique le patron, ils ont changé d’équipe, mais ce qu’il n’explique pas c’est qu’il ne recherche que le profit, comme un peu partout aujourd’hui, et que il préfère embaucher des gros débutants qu’il paie à coups de billets de monopoly pour se faire un maximum de marge. Est-ce que c’est si fûté que ça ? Aucune idée. En tous les cas vous pouvez écouter le genre d’impact que cela a).
C’est incroyable. A se taper la tête contre les murs.
En 2004, j’avais changé pour la troisième fois de portable en un an, parce que tous les portables étaient des non-sens en terme d’utilisation. Et puis j’ai acheté un Sony Ericsson. Le rêve. On m’appelait, je décrochais facilement (= une touche accessible simplement), je parlais bien, il avait une longue autonomie, bref, le rêve. Je n’avais aucun reproche à faire. Naturellement, j’ai vanté Sony Ericsson à tout le monde, pendant plusieurs années… jusqu’à l’année dernière.
L’année dernière, je me suis dit : il faut passer la vitesse supérieure, il faut que je passe à un téléphone plus moderne. J’ai donc cherché un système relativement libre : Android. Et comme j’étais amoureux de Sony Ericsson, j’ai acheté le Sony Ericsson Vivaz. Tout simplement la plus grossière erreur de ma vie depuis plusieurs années. Tout dans ce téléphone est inadmissible d’incohérence : je ne vais pas m’étaler sur toutes les stupidités qui ont été mises en place, mais la plus énorme de toutes, c’est que selon les manipulations que l’on fait dans l’agenda, ce dernier ne fonctionne pas et ne sonne pas pour faire les rappels. Véridique.
J’ai donc attendu impatiemment jour pour jour l’arrivée de mes 12 mois d’abonnement à Bouygues pour changer de téléphone portable. Encore une fois, il est hors de question que je paie pour un système aussi propriétaire, fermé et cher que celui d’Apple. J’ai, cette fois, pris mon temps et j’ai cherché parmi tous les téléphones portables. Il y en avait deux qui semblaient vraiment correspondre à mes besoins : le Sony Ericsson Xperia Arc, et le Samsung Galaxy S.
Comme il était plus récent et que j’ai lu beaucoup de retours positifs sur le Sony Ericsson Xperia Arc, j’ai décidé de l’acheter.
Bon, avant d’aller plus loin, je vais expliquer le principe de toute interface homme machine (IHM) correcte : une IHM bien conçue est immédiatement comprise par l’utilisateur. Immédiatement.
Maintenant que j’ai expliqué clairement les règles, je vais expliquer quelles sont les manipulations que j’ai faites. La première a consisté à brancher mon téléphone sur l’USB de mon ordinateur. Là, le téléphone s’allume et me demande « Voulez-vous installer PC Companion ». Je dis « oui », et là sur mon ordinateur, l’installation se lance, tout fonctionne à merveille… jusqu’à ce qu’elle soit terminée. A partir de ce moment, dès que je branche mon portable, j’ai cette merveilleuse boite de dialogue qui s’affiche :
Donc je suis systématiquement obligé d’annuler, et sur mon téléphone portable, de dire « Oui » à chaque fois que je lis « Voulez-vous installer PC Companion », sinon ça ne fonctionne pas, même en lancant l’application à la main :
Alors je me suis dit « mais bon sang c’est sûrement sur mon Windows XP que ça ne fonctionne pas, je vais tester sur Windows 7 toute dernière génération ! Même problème !
Bon, ce n’est pas grave, maintenant, j’aimerais récupérer mes contacts, que j’ai sauvegardé. Après grande discussion avec la hotline, et après avoir testé par moi-même, conclusion : pour pouvoir récupérer ses contacts d’un ancien téléphone comme le Sony Ericsson Vivaz, il faut obligatoirement passer par Outlook, y déposer ses contacts, et les réimporter sur le nouveau portable :
Cela ne fonctionne pas avec Outlook Express. Oui, vous ne rêvez pas : il est impossible d’éviter les systèmes propriétaires. Alors dans ce cadre, ils offrent une nouvelle possibilité : synchroniser avec Gmail. Enfin quelque chose qui pourrait fonctionner : google fait toujours du bon boulot !
Je configure donc mon compte email dans l’application « PC Companion », et là… importation de tous les contacts que j’ai dans Gmail : tous les contacts ! 1150 adresses email, dont 1100 qui ne me servent à rien et dont je n’ai rien à cirer ! Bon pas grave. Je retourne sous Gmail, j’ajoute quelques numéros de téléphone, je resynchronise. Tout fonctionne. J’ouvre mon téléphone, je clique sur « contacts » et là :
Depuis deux jours je n’ai absolument aucune idée de comment afficher les 1150 adresses, qui, soi-disant, ont été importées dans mon téléphone.
Pour être honnête, je n’aurais jamais publié cet article si jamais je n’étais pas arrivé à l’épisode que je vais vous citer, la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. J’ai tendance à penser que si je n’y arrive pas, il y a 99% de chances que ce soit ma faute. Mais là, ça dépasse l’entendement.
Je le redis encore une fois : le principe de toute interface homme machine (IHM) correcte : une IHM bien conçue est immédiatement comprise par l’utilisateur. Immédiatement.
J’ai voulu écrire un SMS rapidement. Je commence à le taper, tout va bien puis j’appuie en haut pour rentrer le numéro. Tout va bien :
Là je m’aperçois que je me suis trompé dans un des chiffres. J’appuie sur le numéro de téléphone, et ce menu s’ouvre :
Regardez bien le menu. Il est impossible de valider le numéro de téléphone. Impossible. Juste une check verte « ok » sur laquelle cliquer, ça semble trop simple à faire. C’est le summum de la connerie humaine. Sur les six personnes à qui j’ai demandé de trouver une solution, personne n’a trouvé.
Regardez les possibilités offertes :
Appel : je ne veux pas appel bordel je veux juste valider ce numéro !
Enreg. : je ne veux pas enregistrer ce numéro je veux juste le valider !
Téléphone : ca n’a aucun effet si on appuie dessus ;
Jrnl d’appel : ça affiche le journal d’appel : qu’est ce que je m’en cogne, je veux juste valider ce numéro ;
Contacts : ça affiche les contacts : qu’est ce que je m’en cogne, je veux juste valider ce numéro ;
Favoris : ça affiche les contacts favoris : ils le font exprès ou quoi, je veux juste valider ce numéro ! ! !
Donc, tenez vous bien, ce que je dis est hallucinant mais vrai, donc je l’écris en gros et gras :
en 2011, sur le tout dernier téléphone Sony Ericsson Xperia Arc / système Android Gingerbread, il est impossible de modifier simplement un numéro de téléphone que le portable ne connait pas si on veut envoyer un SMS.
Panne d’électricité : la Freebox redémarre. Mon PC sous Windows Seven redémarre. Et là, plus de réseau : le réseau n’est plus un réseau privé, c’est un réseau public : Windows affiche « Réseau non identifié = réseau public ».
Résultat : je fais cet article… sur mon portable Ubuntu, qui, lui fonctionne absolument parfaitement.
Et croyez moi, j’ai du mal à ne pas insulter Microsoft. Qui aurait cru un jour que j’utiliserai Ubuntu pour dépanner ce ** de Windows Seven ?
Cela fait 4 heures que je cherche sur le net en ayant essayé toutes les solutions, et voici celles qui m’ont parues les plus logiques, mais (enfin dans la logique Windows) sans succès :
– supprimer l’IPv6 qui peut éventuellement poser des conflits avec l’IPv4 ;
– supprimer la carte réseau afin qu’elle soit redétectée et réinstallée ;
– supprimer le mot de passe de compte administrateur ;
– et j’en passe et des meilleures.
La solution que j’ai trouvé ? J’ai récupéré, grâce à mon ordinateur portable, le DVD de Ubuntu 10.04, j’ai booté avec l’ordinateur dessus, et là, ça ne fonctionnait pas du tout. Donc le message, cette fois ci, était clair : problème de carte réseau. Point à la ligne, merci au revoir. Si j’avais eu Ubuntu, au lieu de perdre 8 heures, j’aurais compris en 5 minutes le problème. Et Microsoft a fait tout un document expliquant que si on migre sur Linux on va perdre du temps ? Je pense qu’il y a des fois où c’est complètement faux…
Conclusion finale : mon PC s’est grillé sa carte réseau à cause de la coupure de courant, mais Windows, au lieu de me donner des indications claires, par exemple
impossible d'atteindre un serveur DHCP
ou d’autre messages beaucoup plus clairs, m’a dit qu’il avait découvert un réseau mais comme il ne savait pas l’identifier, que ce réseau était un « réseau public ». Donc, logiquement, comme il avait découvert un réseau, on pense que la carte réseau fonctionne, sinon il n’aurait jamais découvert de réseau ! Mais ce n’est pas le cas. Conclusion : une journée complète de perdue à cause de messages pas du tout explicites, destinés à des débutants, mais comme les débutants n’y comprennent rien, ces message, en pratique, ne servent à rien. Vive Windows.
Plus exactement, le titre devrait être : pour les benêts qui veulent se faire exploiter par des guignols en costard cravate qui se surgavent sur leur dos tels que AUSY, SYNCHRONE TECHNOLOGIES, Sogima et autres pipeauteurs, en leur mettant la pression à mort, 2000 postes sont à pourvoir.
Exemple concret : lesjeudis.com : c’est bien simple, il n’a que des SSII. Et les SSII, le principe est simple : Sogima, AUSY et autres bande de pseudo professionnels qui parlent de « développement en Php de base de données » et de « requêtes bases de données orientés développement C » et autres aberrations caratéristiques de l’enfumage complet qui est l’objectif #1 des commerciaux (je le rappelle, un bon vendeur est un bon menteur), non et non : désolé, mais lesjeudis.com, actuellement, promeut ce genre de marché qui se résume en une phrase :
« Je suis un bon pipeauteur, un gros blaireau incompétent en informatique mais mon nez de parasite me dit qu’il y a plein d’argent à se faire, alors je me reconvertis, je vends des prestations à des grosses entreprises et je démarche des pauvres étudiants qui viennent tout juste d’avoir leurs diplômes, et je les fais bosser comme des esclaves pour un salaire de misère, en me prenant une commission démesurée au passage, et surtout, surtout, je tiens des discours grandiloquents sur ma société ».
Et je reste poli, encore, quand je parle de guignols qui n’y comprennent rien (si si je promets, je reste poli, il aurait fallu voir l’entretien que j’ai eu chez SOGETI pour comprendre que je reste poli).
J’espère, pour être plus constructif, que lesjeudis.com réussiront à s’orienter vers d’autres compagnies que des groupes de crétins qui sortent des phrases (je n’invente rien) telles que, allez au hasard AUSY : « Nous cherchons, pour nos équipes de Marseille, un Chef de Projet dont le rôle sera d’effectuer des reportings adaptés aux besoins de l’équipe projet, du Project Office, ou du management », ou encore « Assurer la gestion des comptes applicatifs, notamment appliquer les procédures et process User-id management. ».
Et dans le domaine du gros pipeautage qui ne veut absolument rien dire de concret :
« Vous interviendrez sur des missions liées à des environnements hétérogènes, principalement sur des projets d’envergure internationale, dans le cadre de missions de conseil ou d’assistance technique pour le compte de nos clients. ». Ah oui merci, maintenant je sais exactement où je vais aller, chez qui, et ce que je vais faire. Mais, bon, ça fait bien, ça met en confiance, ça vend bien, wow, avec ça je vais en vendre des contrats et en empocher, un paquet de fric !
Si ces gens ne faisaient que se gaver, je ne dirais rien, mais ils se gavent au détriment des développeurs. Et là ça m’exaspère.
Donc lesjeudis.com = bonne idée, bonne initiative, mais que des SSII, à une ou deux près, dedans les offres = décrédibilise tout sérieux selon moi.
Analyste d’exploitation
SYNCHRONE TECHNOLOGIES
INGENIEUR SUPPORT NIVEAU 3
Softway Medical
Administrateur Système Réseau
Sogima
Ingénieur Système Réseau
Sogima
ADMINISTRATEUR SAN H/F
AUSY
ADMINISTRATEUR UNIX AIX
AUSY
Administrateur Systèmes Windows Citrix H/F
AUSY
INGENIEUR RESEAU SECURITE
AUSY
CHEF DE PROJET
AUSY
TECHNICIEN INFORMATIQUE
AUSY
Ingénieur VMWARE/WINDOWS H/F
GFI Informatique
Ingénieur d’étude et dévelopement C/PHP
PROLOGUE
Ingénieur réseaux IP/FAI confirmé
SYNCHRONE TECHNOLOGIES
Chargé d’étude et d’implantation du Réseau Telecom (f/h)
Orange
TECHNICIEN SYSTEME RESEAU
Softway Medical
Responsable Infrastructures
Advise RH
Technicien Réseaux H/F
Advise RH
Développeur Java J2EE (H/F)
ART Informatique
Business Analyst/Analyste décisionnel
SYNCHRONE TECHNOLOGIES
Administrateur Websphere en production
SYNCHRONE TECHNOLOGIES
Conception orientée Objet H/F
SOGETI HIGH TECH
Chef de Projets Fonctionnel / Editeur de Logiciels – H/F
Selescope
Technicien Support Informatique
TELINTRANS
TECHNICIEN ASSISTANT UTILISATEUR (H/F)
OSIATIS
TECHNICIEN SYSTEMES
OSIATIS
Développeur Java J2EE (H/F)
ART Informatique
Business Analyst/Analyste décisionnel
SYNCHRONE TECHNOLOGIES
Administrateur Websphere en production
SYNCHRONE TECHNOLOGIES
Responsable Infrastructures
Advise RH
Technicien Réseaux H/F
Advise RH
Développeur Java J2EE (H/F)
ART Informatique
Business Analyst/Analyste décisionnel
SYNCHRONE TECHNOLOGIES
Conception orientée Objet H/F
SOGETI HIGH TECH
Chef de Projets Fonctionnel / Editeur de Logiciels – H/F
Selescope
Technicien Support Bureautique
ESR
Service Desk Analyst
Abritel
Administrateur Stockage SAN Sauvegarde H/F
ALTRAN TECHNOLOGIES
administrateur Windows H/F
ALTRAN TECHNOLOGIES
Consultant en Développement J2EE
ALTRAN TECHNOLOGIES
Développeur technologies .NET H/F
Progexio
Développeur Java J2EE (H/F)
ART Informatique
Business Analyst/Analyste décisionnel
SYNCHRONE TECHNOLOGIES
Administrateur Websphere en production
SYNCHRONE TECHNOLOGIES
Chef de Projets Fonctionnel / Editeur de Logiciels – H/F