La traduction n’est pas complète, si vous voulez, je vous laisse faire le reste et me laisser votre travail en tant que commentaire (on peut toujours rêver)… bah oui quoi je vous ai apporté déjà pas mal d’informations, non ?
Si les hommes d’affaire comptent sur la sagesse des masses pour les aider à faire plus de business, il serait enfin temps que les masses aient une petite compensation.
Sur Kluster, le site de Ben Kaufman’s, les compagnies paient les utilisateurs pour leurs idées.
C’est la théorie derrière Kluster, le dernier rejeton de la lignée des compagnies qui veulent utiliser les Web pour drainer l’intelligence collective des étrangers afin de construire des stratégies de business gagnantes. Avec un système de gratifications en monnaie sonnante et trébuchante, et une très bonne impression faite à là conférence de TED la semaine dernière à Monterey, Calif., Kluster espère attirer suffisamment de visiteurs avec suffisamment de personnes créatives pour atteindre des sommets.
En plus des membres du publique, les 1,000 participants de TED, une conference dédiée aux nouvelles technologies, au design et aux divertissement, qui attire les leaders de beaucoup d’industries, ont essayé Kluster pour chercher de nouvelle idées pour un produit, ensuite ils en on choisi un, et ont participé au design. Le résultat : « Over There », un jeu de plateau éducatif ayant pour objectif de promouvoir l’éveil à la culture, avec des questions telle que « Quel est le pourcentage de la population mondiale qui vit plus loin que un kilomètre d’une source d’eau naturellement potable ? ».
Selon Ben Kaufman, le jeune fondateur de 21 ans de Kluster, il y avait uniquement deux contraintes : le produit ne devait pas dépasser 20 x 20 cm et devait pouvoir être construit en une seule injection de plastique (contrainte industrielle). Tout au long du processus, Mr. Kaufman expliquait qu’il imaginait que le produit serait « quelque chose qui ne serve pas un intérêt futile du consommateur, mais un vrai produit humanitaire qui pourrait être utilisé par tout le monde. »
Mr. Kaufman a dit qu’en réalité ce serait son point de départ. Ce même personnage, fondateur de Mophie, un revendeur d’accessoires iPod, a gagné un concours de design de produit à la conférence Macworld, avec des gens qui soumettaient des idées et utilisaient un site Web pour affiner les designs et voter.
C’est ici qu’est né « Bevy » — un porte clé et ouvre-bouteille intégré à un boîtier iPod Shuffle — produit qui a été vendu en plusieurs milliers d’exemplaires à d’autres revendeurs dans le monde entier. Fort de ce succès, Mr. Kaufman a revendu Mophie en août pour une somme non diffusée, et a commencé un business né directement de l’expérience qu’il avait eu lors de la conférence Macworld.
Kluster includes a number of refinements to that process. Those who join are given 1,000 units of Kluster scrip, called « watts », and they may earn more by telling the site more about themselves, like their area of expertise, age and income. Meanwhile, businesses are invited to post specific tasks to be addressed, like creating a new product, logo or corporate event.
Participants browsing the ideas offered by Kluster members can bet some or all of their watts on the ideas they most believe in, or post ideas of their own. Those who had winning ideas earn at least 20 percent of the bounty offered by the company that sought the idea, as well as more watts, while those who bet on the winning idea earn watts. Those who bet wrong lose what they wagered.
Mr. Kaufman said several well-known manufacturers would offer projects on the site after the TED contest. He would not disclose the identities of those businesses, but some, he said, would offer $50,000 or more for winning ideas, while others expect to give far less and hope that they have enough good will among their customers to spur ideas.
Kluster will make money, he said, by taking 15 percent of any rewards offered to projects and by charging fees for prominent placement of projects on the site, among other things.
Don Tapscott, the business strategy consultant and co-author of the book « Wikinomics », said executives were quickly warming to the strategic value of « P.F.E. » ideas, or those « proudly found elsewhere. »
« Throughout the 20th century, we’ve had this view that talent is inside the company », Mr. Tapscott said. « But with the Web, collaboration costs are dropping outside the boundaries of companies, so the world can become your talent. »
Mr. Tapscott, who credited Procter & Gamble with the P.F.E. concept, said executives can go overboard with the idea of outsourcing innovation if, in seeking such help, they expose too much of a company’s trade secrets. But so far, he knows of no business that has done so.
« They always err on the other side », he said. « They don’t do enough. »
Among the obstacles in Kluster’s path are sites like InnoCentive and Cambrian House, which operate similarly. InnoCentive, based in Waltham, Mass., was until late last year a forum for solving science-related problems, typically for cash rewards. In September, it expanded into business, engineering and computer science, among other things. Since then it has grown by 15,000 participants, to 140,000, the company said.
Cambrian House, which is based in Calgary, Alberta, and has 64,000 participants, will also expand its Web site this year to accommodate projects across a broader range of industries. Until now, said Jasmine Antonick, a Cambrian House founder, the site has attracted mostly software and Web entrepreneurs.
Ms. Antonick expects the site to be profitable later this year, when it receives a share of payments made by businesses to several of Cambrian House’s participants, like two men who created Gwabs, an online video game that is to be distributed by an undisclosed company this summer.
Le mois prochain, il présentera VenCorps, un site grâce auquel des investisseurs et autres personnes affiliées, pourront consulter des idées provenant de gens extérieurs, et, au bout de 30 jours, payer le concepteur de l’idée 50,000 dollars en échange d’un d’un achat de parts ou autres.
VenCorps est un partenariat établi entre Cambrian House et Spencer Trask Collaborative Venture Partners, une division New-Yorkaise d’investisseurs de la boîte Spencer Trask. Sean Wise, l’un des fondateurs de Collaborative Venture Partners, avoue qu’il a beaucoup d’espoirs concernant ce site.
« Quel que soit mon degré d’ingéniosité », a-t-il dit, « je ne pourrai jamais produire quelque chose d’aussi subtil et fin que ce qui ressort d’une réflexion collective d’une communauté. »
Josh Bernoff, un analyste chez Forrester Research, a annoncé que Kluster avait un vrai « potentiel commercial ».
« Demander à une communauté de l’aide pour résoudre des problèmes va certainement faire progresser le commerce », a-t-il ajouté. « Ce n’est, actuellement, toujours pas quelque chose qui donne la possibilité de faire une grosse plus-value dans le business. »
… pas encore.