Catégorie : vie courante

Sony Ericsson Xperia Arc / Android : les non sens utilisateurs

C’est incroyable. A se taper la tête contre les murs.
En 2004, j’avais changé pour la troisième fois de portable en un an, parce que tous les portables étaient des non-sens en terme d’utilisation. Et puis j’ai acheté un Sony Ericsson. Le rêve. On m’appelait, je décrochais facilement (= une touche accessible simplement), je parlais bien, il avait une longue autonomie, bref, le rêve. Je n’avais aucun reproche à faire. Naturellement, j’ai vanté Sony Ericsson à tout le monde, pendant plusieurs années… jusqu’à l’année dernière.
L’année dernière, je me suis dit : il faut passer la vitesse supérieure, il faut que je passe à un téléphone plus moderne. J’ai donc cherché un système relativement libre : Android. Et comme j’étais amoureux de Sony Ericsson, j’ai acheté le Sony Ericsson Vivaz. Tout simplement la plus grossière erreur de ma vie depuis plusieurs années. Tout dans ce téléphone est inadmissible d’incohérence : je ne vais pas m’étaler sur toutes les stupidités qui ont été mises en place, mais la plus énorme de toutes, c’est que selon les manipulations que l’on fait dans l’agenda, ce dernier ne fonctionne pas et ne sonne pas pour faire les rappels. Véridique.

J’ai donc attendu impatiemment jour pour jour l’arrivée de mes 12 mois d’abonnement à Bouygues pour changer de téléphone portable. Encore une fois, il est hors de question que je paie pour un système aussi propriétaire, fermé et cher que celui d’Apple. J’ai, cette fois, pris mon temps et j’ai cherché parmi tous les téléphones portables. Il y en avait deux qui semblaient vraiment correspondre à mes besoins : le Sony Ericsson Xperia Arc, et le Samsung Galaxy S.
Comme il était plus récent et que j’ai lu beaucoup de retours positifs sur le Sony Ericsson Xperia Arc, j’ai décidé de l’acheter.

Bon, avant d’aller plus loin, je vais expliquer le principe de toute interface homme machine (IHM) correcte : une IHM bien conçue est immédiatement comprise par l’utilisateur. Immédiatement.

Maintenant que j’ai expliqué clairement les règles, je vais expliquer quelles sont les manipulations que j’ai faites. La première a consisté à brancher mon téléphone sur l’USB de mon ordinateur. Là, le téléphone s’allume et me demande « Voulez-vous installer PC Companion ». Je dis « oui », et là sur mon ordinateur, l’installation se lance, tout fonctionne à merveille… jusqu’à ce qu’elle soit terminée. A partir de ce moment, dès que je branche mon portable, j’ai cette merveilleuse boite de dialogue qui s’affiche :

Détection stupide du Sony Ericsson Xperia Arc

Donc je suis systématiquement obligé d’annuler, et sur mon téléphone portable, de dire « Oui » à chaque fois que je lis « Voulez-vous installer PC Companion », sinon ça ne fonctionne pas, même en lancant l’application à la main :

Détection qui ne fonctionne pas du Sony Ericsson Xperia Arc

Alors je me suis dit « mais bon sang c’est sûrement sur mon Windows XP que ça ne fonctionne pas, je vais tester sur Windows 7 toute dernière génération ! Même problème !

Bon, ce n’est pas grave, maintenant, j’aimerais récupérer mes contacts, que j’ai sauvegardé. Après grande discussion avec la hotline, et après avoir testé par moi-même, conclusion : pour pouvoir récupérer ses contacts d’un ancien téléphone comme le Sony Ericsson Vivaz, il faut obligatoirement passer par Outlook, y déposer ses contacts, et les réimporter sur le nouveau portable :

Sony Ericsson Xperia Arc : l'importation des contacts obligatoire par Outlook

Cela ne fonctionne pas avec Outlook Express. Oui, vous ne rêvez pas : il est impossible d’éviter les systèmes propriétaires. Alors dans ce cadre, ils offrent une nouvelle possibilité : synchroniser avec Gmail. Enfin quelque chose qui pourrait fonctionner : google fait toujours du bon boulot !
Je configure donc mon compte email dans l’application « PC Companion », et là… importation de tous les contacts que j’ai dans Gmail : tous les contacts ! 1150 adresses email, dont 1100 qui ne me servent à rien et dont je n’ai rien à cirer ! Bon pas grave. Je retourne sous Gmail, j’ajoute quelques numéros de téléphone, je resynchronise. Tout fonctionne. J’ouvre mon téléphone, je clique sur « contacts » et là :

Depuis deux jours je n’ai absolument aucune idée de comment afficher les 1150 adresses, qui, soi-disant, ont été importées dans mon téléphone.

Pour être honnête, je n’aurais jamais publié cet article si jamais je n’étais pas arrivé à l’épisode que je vais vous citer, la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. J’ai tendance à penser que si je n’y arrive pas, il y a 99% de chances que ce soit ma faute. Mais là, ça dépasse l’entendement.

Je le redis encore une fois : le principe de toute interface homme machine (IHM) correcte : une IHM bien conçue est immédiatement comprise par l’utilisateur. Immédiatement.

J’ai voulu écrire un SMS rapidement. Je commence à le taper, tout va bien puis j’appuie en haut pour rentrer le numéro. Tout va bien :

Sony Ericsson Xperia Arc : écriture de SMS étape qui fonctionne

Là je m’aperçois que je me suis trompé dans un des chiffres. J’appuie sur le numéro de téléphone, et ce menu s’ouvre :

Sony Ericsson Xperia Arc : écriture de SMS étape de modification du numéro de téléphone

Regardez bien le menu. Il est impossible de valider le numéro de téléphone. Impossible. Juste une check verte « ok » sur laquelle cliquer, ça semble trop simple à faire. C’est le summum de la connerie humaine. Sur les six personnes à qui j’ai demandé de trouver une solution, personne n’a trouvé.
Regardez les possibilités offertes :

  • Appel : je ne veux pas appel bordel je veux juste valider ce numéro !
  • Enreg. : je ne veux pas enregistrer ce numéro je veux juste le valider !
  • Téléphone : ca n’a aucun effet si on appuie dessus ;
  • Jrnl d’appel : ça affiche le journal d’appel : qu’est ce que je m’en cogne, je veux juste valider ce numéro ;
  • Contacts : ça affiche les contacts : qu’est ce que je m’en cogne, je veux juste valider ce numéro ;
  • Favoris : ça affiche les contacts favoris : ils le font exprès ou quoi, je veux juste valider ce numéro ! ! !

Donc, tenez vous bien, ce que je dis est hallucinant mais vrai, donc je l’écris en gros et gras :
en 2011, sur le tout dernier téléphone Sony Ericsson Xperia Arc / système Android Gingerbread, il est impossible de modifier simplement un numéro de téléphone que le portable ne connait pas si on veut envoyer un SMS.

Microsoft Windows Seven : Réseau public en réseau privé

Panne d’électricité : la Freebox redémarre. Mon PC sous Windows Seven redémarre. Et là, plus de réseau : le réseau n’est plus un réseau privé, c’est un réseau public : Windows affiche « Réseau non identifié = réseau public ».
Résultat : je fais cet article… sur mon portable Ubuntu, qui, lui fonctionne absolument parfaitement.
Et croyez moi, j’ai du mal à ne pas insulter Microsoft. Qui aurait cru un jour que j’utiliserai Ubuntu pour dépanner ce ** de Windows Seven ?
Cela fait 4 heures que je cherche sur le net en ayant essayé toutes les solutions, et voici celles qui m’ont parues les plus logiques, mais (enfin dans la logique Windows) sans succès :
– supprimer l’IPv6 qui peut éventuellement poser des conflits avec l’IPv4 ;
– supprimer la carte réseau afin qu’elle soit redétectée et réinstallée ;
– supprimer le mot de passe de compte administrateur ;
– et j’en passe et des meilleures.

La solution que j’ai trouvé ? J’ai récupéré, grâce à mon ordinateur portable, le DVD de Ubuntu 10.04, j’ai booté avec l’ordinateur dessus, et là, ça ne fonctionnait pas du tout. Donc le message, cette fois ci, était clair : problème de carte réseau. Point à la ligne, merci au revoir. Si j’avais eu Ubuntu, au lieu de perdre 8 heures, j’aurais compris en 5 minutes le problème. Et Microsoft a fait tout un document expliquant que si on migre sur Linux on va perdre du temps ? Je pense qu’il y a des fois où c’est complètement faux…

Conclusion finale : mon PC s’est grillé sa carte réseau à cause de la coupure de courant, mais Windows, au lieu de me donner des indications claires, par exemple

impossible d'atteindre un serveur DHCP

ou d’autre messages beaucoup plus clairs, m’a dit qu’il avait découvert un réseau mais comme il ne savait pas l’identifier, que ce réseau était un « réseau public ». Donc, logiquement, comme il avait découvert un réseau, on pense que la carte réseau fonctionne, sinon il n’aurait jamais découvert de réseau ! Mais ce n’est pas le cas. Conclusion : une journée complète de perdue à cause de messages pas du tout explicites, destinés à des débutants, mais comme les débutants n’y comprennent rien, ces message, en pratique, ne servent à rien. Vive Windows.

AdBlock : petit guide sur le don

Avec le temps, je commence à acquérir une mentalité un peu moins latine, c’est à dire que, par définition, dans les pays latins, si on peut avoir quelque chose gratuitement, ça ne sert à rien de payer. Le volontariat n’existe pas dans les pays latin. Vous connaissez peut-être le proverbe « je ne fais pas ça pour la gloire », un proverbe typiquement de nos contrées. Bien évidemment, c’est une généralité, et j’espère vivement que vous ne vous sentez pas concerné.

Pourquoi ce billet ? Tout simplement parce que j’ai donné 10 dollars, soit 10 euros à un type qui a fait le plugin le plus géniallissime de tous les temps, j’ai nommé : AdBlock. Oui, il bloque toutes les pubs qui nous pourrissent la vie. Il les cache. Il a développé le plugin sur Chrome, puis sur Safari, après s’être inspiré d’Adblock Plus sur Firefox. Ce type a changé ma vie d’internaute acharné. 10 euros c’est rien comparé à ce qu’il a fait pour moi. J’arrive enfin à lire ZDnet sans avoir envie de casser mon écran ! Bon ok j’éxagère un peu (à peine).

Je traduis pour les impatients (et après suit le mail original) :

Salut Olivier !

J’ai écrit AdBlock dans l’espoir que je pourrais rendre la vie des gens un peu plus agréable. Ton don m’incite à penser que j’ai réussi 🙂
Merci, merci merci beaucoup tu es si sympa !

Ces derniers mois je suis particulièrement inquiet parce que j’ai quitté mon travail en espérant que tous les utilisateurs donneraient assez pour m’aider moi et ma famille à vivre, et m’aider à continuer le développement. Peu de gens ont donné, actuellement, ce qui rend ton don encore plus appréciable — ton don est largement au dessus ce que la plupart des utilisateurs donnent (zéro).

Dans mon cas, Katie et moi avons décidé que le travail fait est tellement important qu’il faut que je continue, que je puisse vivre uniquement des dons ou pas, jusqu’à ce que je n’aie plus aucune réserve. Ton don m’éloigne un petit peu plus d’une situation de fauché… au fait je t’ai dit merci ? Merci ! 😀

Bon blocage de pub,
– Michael

PS : Si c’est possible, pourrais tu aller à http://chromeadblock.com/donate/thanks/ et en parler ? J’ai essayé de mettre quelque chose en place pour que PayPal le montre automatiquement après que tu aies donné, mais ça n’a pas l’air de fonctionner correctement.
En tous les cas, cela m’aiderait ENORMEMENT 🙂

Ci suit son mail de réponse :

Hi Olivier!

I wrote AdBlock in the hope that I could make people’s lives better. Your
donation tells me that I did it 🙂 Thank you very, very much! You are so
great!

It’s been a little scary in the few months since I quit my job, hoping that my
users would donate enough that I could support my family and fund more AdBlock
development. Not many users donate yet, which makes your donation even more
appreciated — your donation is way above what most users give: zero.

In any case, Katie and I have decided that it’s important enough work that I
should keep doing it whether we can live off of donations or not, until we
start running out of savings. Your donation just tipped the scales a little
further away from going broke… did I say thank you yet? Thank you! 😀

Happy ad blocking,
– Michael

PS: If you don’t mind, would you go to http://chromeadblock.com/donate/thanks/ and help me spread the word? I tried setting it up so PayPal would show you
that automatically after you donated, but it doesn’t seem to work reliably.
Anyway, it would help me IMMENSELY 🙂

Anglais : la forme posssessive des noms se terminant en « s » : Pons’ Dog

Ci-suit une traduction de l’arcticle posté ici.

Comme à mon habitude, c’est un mémo personnel que je partage… avec tout le monde.

Il y a deux cas différents à traiter en Anglais :

– Pour les noms qui sont au pluriel, (par exemple « boys »), la forme possessive s’écrit en ajoutant une apostrophe après le pluriel « s ». On prononce le nom de la même façon que le pluriel, et le possessif de la même façon que le possessif singulier :

The boys’ books [prononcer « boys' » comme « boys » (en oral français : « boyz »)]

Pour les noms qui sont au singulier et se terminent par un « s », la forme possessive se fait en ajoutant une apostrophe et un « s », comme on le fait avec les noms qui ne se terminent pas par « s ». On le prononce comme s’il y avait « es » ajouté à la fin :

The boss’s car. [prononcer boss’s comme « bosses » (en oral français : « bossize »)]

Pour les noms propres qui se terminent en « s », on ajoute simplement une apostrophe, et on ne change pas leur prononciation. C’est pourquoi on voit souvent :

Confucius’ sayings
Jesus’ teachings

Néanmoins, cette dernière règle ne s’applique pas lorsque les noms se terminent avec une autre lettre que « s », même si oralement on doit prononcer un « s ». Ces noms ont une forme possessive classique :

Marx’s theories

Dans le cas opposé, lorsqu’un nom se termine avec un « s » qui n’est pas prononcé, on ajoute habituellement une apostrophe, mais celle-ci fait qu’on doit prononcer le « s » :

Camus’ novels [le « s » final de « Camus » n’est pas silencieux, il faut le dire]

Twitpic : un exemple à ne pas suivre.

Ce matin, j’ai reçu une nouvelle sur le « buzz » de google. Il faut savoir que le « buzz » c’est en fait l’accumulation de toutes les nouveautés que vos amis / connaissances s’amusent à écrire sur Twitter et autre endroits où des gens décérébrés se font plaisir à perdre inutilement du temps à raconter leur vie (aussi peu intéressante que la mienne, mais je pense avoir la décence de ne pas tomber aussi bas).
Donc parmi les message du « buzz », une personne avait écrit un message sur Twitpic. Tiens ? C’est qui ? C’est quoi. Je vais sur le site et voilà ce qui est affiché :
Image de twitpic de présentation

Bien évidemment j’ai laissé affiché en tout petit, mais vous imaginez un gamin de 8 ans qui voit ça (si si regardez bien la maladie du type) ?

Vive le Web moderme. Et bien sûr, évitez Twitpic !

Merci Inès !

Ce matin, petit déjeûner tranquille à la maison : Inès, Sandrine et moi.

Discussion tranquille avec Sandrine, et je dis :

– Il faudra nettoyer le plafond de la salle de bain le plus tôt possible ;

Sandrine répond :

– Oui, après le petit.

Je réponds immédiatement :

– Non pas après le petit, au contraire, avant.

Et s’ensuit une discussion où finalement, Sandrine me dit qu’elle a dit « après la chambre du petit ». Je soutiens mordicus que « non, elle a dit après le petit ». Mais non, mais non c’est pas possible, Olivier, tu rêve ! Tu entends des voix etc.etc. bref comme on ne peut rien prouver… et là Inès regarde Sandrine et sort :

– Mais si maman tu as dit « après le petit », tu n’as pas dit « après la chambre du petit », moi j’avais compris comme papa !

\o/

Merci ma fille je t’aime ! Tu veux une glace ? Un bonbon ? Tu veux quoi ? Je t’offre tout !

Jésus est là et te regarde !

Un jour, un voleur entre par infraction dans une maison. Tout est noir à l’intérieur. Il allume sa lampe de poche et regarde autour de lui afin de voir s’il y a des objets de valeur. Il entend alors dans le noir une voix lui disant :
– « Jésus sait que tu es là ! »
Il se jette sur le côté, éteint sa lampe de poche et ne fait plus aucun bruit. Après un certain temps, n’entendant plus aucun bruit, il rallume sa lampe de poche et se rend à la chaine stéréo afin de la débrancher. Juste au moment où il arrive près de la chaine stéréo afin de débrancher les fils, il entend de nouveau :
– « Jésus te surveille ! »
Mort de peur, il fait décide de balayer avec sa lampe de poche la pièce, et aperçoit la provenance de la voix. Il s’agit d’un perroquet.
Il demande :
– « C’est toi qui a dit ça ? »
– « Oui, confesse le perroquet, j’essaie de te prévenir que Jésus te surveille. »
Le voleur se calme.
– « Me prévenir ? Qui es-tu ? »
– « Je suis Moïse. »
– « Moïse ? Lolilol ! Qui peut bien appeler son perroquet Moïse ? »
– « Les mêmes qui ont appelé leur Rottweiler Jésus. »

Motivation : mais bon sang ! T’as fait quoi là ?

C’est la traduction d’un article que j’ai lu ici.

Je crois qu’il y a un équilibre sain que tous les développeurs ont besoin d’établir, entre …

  1. S’enfermer dans un bureau privé et avoir un dialogue intime avec un compilateur et son programme ;
  2. Sortir en public et avoir un dialogue ouvert avec les autres êtres humains au sujet de son programme.

La plupart des programmeurs sont introvertis, ils n’ont pas besoin d’encouragements pour partir en courant, se retrouver seuls et passer du temps avec leur ordinateur. Ils le font naturellement. Livrés à eux mêmes, c’est la seule chose qu’ils feraient de toute façon. Je ne les blâme pas pour ça ; les ordinateurs sont incroyablement plus rationels que les gens. C’est d’ailleurs ce qui nous amène le plus souvent dans ce domaine. Mais il est possible d’aller trop loin dans l’autre sens aussi. C’est beaucoup plus rare, parce que cela va dans le sens inverse de l’introversion naturelle de la plupart des développeurs de logiciels, mais cela arrive.  Prenons moi, par exemple. Parfois, je crains de passer plus de temps de parler programmation que de programmer tout court.

Le jour où j’en suis arrivé au point de passer plus de temps à parler de développement que de développer, ma plus grandeur peur a été concrétisée : je suis devenu un expert. La dernière chose dont le monde a besoin, c’est d’avoir encore plus d’experts. Les experts ajoutent systématiquement des commentaires éphémères au lieu de faire quelque chose de concret et de réel. Ils ne participent en rien de matériel à la construction de quelque chose qui dure ; à l’inverse, ils observent passivement le travail des autres et se contentent de faire des commentaires à la blablablabla qui n’en finissent jamais en tournant des phrases dans un style complexe et tourmenté, de manière à se gonfler un peu l’ego. C’est pathétique.

C’est peut-être pour ça que cet article de SEO Black Hat m’a autant inspiré et motivé :

Do it F***ing Now.

Traduction :

P*tain, Fais Le Maintenant.

N’attends pas. Ne procrastine pas. Les vainqueurs ne sont pas ceux qui trouvent les meilleures excuses pour ne pas faire ce qu’ils savent comme un potentiel de gain d’argent. Les vainqueurs sont ceux qui savent organiser leurs priorités et remplir leurs journées.

Fais une liste des actions correspondantes aux tâches importantes et assure toi qu’elles soient réalisées. Tous les projets que tu as en tête devraient être en mouvement. Si tu n’avance pas, tu stagne.  Chaque pas que tu fais ne dois jamais se transformer en « pour le reste je m’y consacrerai la semaine prochaine ». Si ça peut te faire gagner de l’argent :

P*tain, Fais Le Maintenant.

Certains d’entre vous peuvent penser que le « P*tain » est en trop. C’est faux. Il vous faut l’impact. Il vous faut cette force, pour arriver à créer cet appel à agir, ce coup de pied au derrière qui va vous faire bouger. Sinon, vous allez finir comme la plupart des gros loosers qui avaient eu une super idée il y a longtemps mais qui n’ont jamais rien fait. Les rêveurs ne gagnent jamais d’argent. Ceux qui se bougent, si. Et ceux qui se bougent, p*tain, le font maintenant.

Note personnelle : cette suite d’expressions est intraduisible, mais j’aime bien

  1. Do it.
  2. Do it right.
  3. Do it right now.
  4. Do it f***ing right now.