Erreurs 404 originales
Voici quelques liens vers des erreurs 404 que j’ai trouvé très originales.
Si vous en avez d’autres, n’hésitez pas à les ajouter dans les commentaires !
Voici quelques liens vers des erreurs 404 que j’ai trouvé très originales.
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J’ai rencontré un problème incroyable : tout fonctionnait correctement sur tous les navigateurs : Internet Explorer, Firefox, et Safari. Mais pas sur Chrome ! Une fois n’est pas coutume, ce n’était pas Internet Explorer qui était le problème majeur !
Le problème est simple à expliquer : lorsqu’on s’inscrit sur http://papdevis.fr/ ou qu’on fait une recherche, j’enregistre le choix dans la session du côté du serveur. Rien dans les cookies.
"valider=1"
Seul problème : sur Chrome, le devis ne se validait pas parce que l’identifiant de session était réinitialisé ! Incroyable.
Grâce à ce lien, ma vie a changé : session-data-lost-in-chrome-only.
En fait, il fallait mettre un favicon, sinon Chrome continue à le chercher en boucle, et s’il ne le trouve pas, réinitialise la session.
Le genre d’erreur impossible à trouver (à moins d’avoir de la chance), parce qu’on n’arrive pas à imagine que le problème puisse venir du navigateur !
J’espère que mon article a évité à certains de se faire des cheveux blancs…
C’est incroyable. A se taper la tête contre les murs.
En 2004, j’avais changé pour la troisième fois de portable en un an, parce que tous les portables étaient des non-sens en terme d’utilisation. Et puis j’ai acheté un Sony Ericsson. Le rêve. On m’appelait, je décrochais facilement (= une touche accessible simplement), je parlais bien, il avait une longue autonomie, bref, le rêve. Je n’avais aucun reproche à faire. Naturellement, j’ai vanté Sony Ericsson à tout le monde, pendant plusieurs années… jusqu’à l’année dernière.
L’année dernière, je me suis dit : il faut passer la vitesse supérieure, il faut que je passe à un téléphone plus moderne. J’ai donc cherché un système relativement libre : Android. Et comme j’étais amoureux de Sony Ericsson, j’ai acheté le Sony Ericsson Vivaz. Tout simplement la plus grossière erreur de ma vie depuis plusieurs années. Tout dans ce téléphone est inadmissible d’incohérence : je ne vais pas m’étaler sur toutes les stupidités qui ont été mises en place, mais la plus énorme de toutes, c’est que selon les manipulations que l’on fait dans l’agenda, ce dernier ne fonctionne pas et ne sonne pas pour faire les rappels. Véridique.
J’ai donc attendu impatiemment jour pour jour l’arrivée de mes 12 mois d’abonnement à Bouygues pour changer de téléphone portable. Encore une fois, il est hors de question que je paie pour un système aussi propriétaire, fermé et cher que celui d’Apple. J’ai, cette fois, pris mon temps et j’ai cherché parmi tous les téléphones portables. Il y en avait deux qui semblaient vraiment correspondre à mes besoins : le Sony Ericsson Xperia Arc, et le Samsung Galaxy S.
Comme il était plus récent et que j’ai lu beaucoup de retours positifs sur le Sony Ericsson Xperia Arc, j’ai décidé de l’acheter.
Bon, avant d’aller plus loin, je vais expliquer le principe de toute interface homme machine (IHM) correcte : une IHM bien conçue est immédiatement comprise par l’utilisateur. Immédiatement.
Maintenant que j’ai expliqué clairement les règles, je vais expliquer quelles sont les manipulations que j’ai faites. La première a consisté à brancher mon téléphone sur l’USB de mon ordinateur. Là, le téléphone s’allume et me demande « Voulez-vous installer PC Companion ». Je dis « oui », et là sur mon ordinateur, l’installation se lance, tout fonctionne à merveille… jusqu’à ce qu’elle soit terminée. A partir de ce moment, dès que je branche mon portable, j’ai cette merveilleuse boite de dialogue qui s’affiche :
Donc je suis systématiquement obligé d’annuler, et sur mon téléphone portable, de dire « Oui » à chaque fois que je lis « Voulez-vous installer PC Companion », sinon ça ne fonctionne pas, même en lancant l’application à la main :
Alors je me suis dit « mais bon sang c’est sûrement sur mon Windows XP que ça ne fonctionne pas, je vais tester sur Windows 7 toute dernière génération ! Même problème !
Bon, ce n’est pas grave, maintenant, j’aimerais récupérer mes contacts, que j’ai sauvegardé. Après grande discussion avec la hotline, et après avoir testé par moi-même, conclusion : pour pouvoir récupérer ses contacts d’un ancien téléphone comme le Sony Ericsson Vivaz, il faut obligatoirement passer par Outlook, y déposer ses contacts, et les réimporter sur le nouveau portable :
Cela ne fonctionne pas avec Outlook Express. Oui, vous ne rêvez pas : il est impossible d’éviter les systèmes propriétaires. Alors dans ce cadre, ils offrent une nouvelle possibilité : synchroniser avec Gmail. Enfin quelque chose qui pourrait fonctionner : google fait toujours du bon boulot !
Je configure donc mon compte email dans l’application « PC Companion », et là… importation de tous les contacts que j’ai dans Gmail : tous les contacts ! 1150 adresses email, dont 1100 qui ne me servent à rien et dont je n’ai rien à cirer ! Bon pas grave. Je retourne sous Gmail, j’ajoute quelques numéros de téléphone, je resynchronise. Tout fonctionne. J’ouvre mon téléphone, je clique sur « contacts » et là :
Depuis deux jours je n’ai absolument aucune idée de comment afficher les 1150 adresses, qui, soi-disant, ont été importées dans mon téléphone.
Pour être honnête, je n’aurais jamais publié cet article si jamais je n’étais pas arrivé à l’épisode que je vais vous citer, la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. J’ai tendance à penser que si je n’y arrive pas, il y a 99% de chances que ce soit ma faute. Mais là, ça dépasse l’entendement.
Je le redis encore une fois : le principe de toute interface homme machine (IHM) correcte : une IHM bien conçue est immédiatement comprise par l’utilisateur. Immédiatement.
J’ai voulu écrire un SMS rapidement. Je commence à le taper, tout va bien puis j’appuie en haut pour rentrer le numéro. Tout va bien :
Là je m’aperçois que je me suis trompé dans un des chiffres. J’appuie sur le numéro de téléphone, et ce menu s’ouvre :
Regardez bien le menu. Il est impossible de valider le numéro de téléphone. Impossible. Juste une check verte « ok » sur laquelle cliquer, ça semble trop simple à faire. C’est le summum de la connerie humaine. Sur les six personnes à qui j’ai demandé de trouver une solution, personne n’a trouvé.
Regardez les possibilités offertes :
Donc, tenez vous bien, ce que je dis est hallucinant mais vrai, donc je l’écris en gros et gras :
en 2011, sur le tout dernier téléphone Sony Ericsson Xperia Arc / système Android Gingerbread, il est impossible de modifier simplement un numéro de téléphone que le portable ne connait pas si on veut envoyer un SMS.
C’est la traduction d’un article trouvé ici.
Ci-suit comment appliquer un patch sur l’erreur assez commune « mount error 12 = Cannot allocate memory ».
[snip]
La bonne chose c’est que je l’ai corrigé, d’un point de vue Linux.
Et on est dans un groupe de discussion Linux.
Je vais donc être un bon citoyen (euh… « Internetoyen ») et expliquer comment j’ai fait afin d’aider éventuellement d’autres personnes qui se retrouveraient face à ce problème.
Il y a vraiment très peu de chose sur Internet, concernant ce sujet.
[snip]
Je fais mon article ici pour tous les autres qui pourraient être déstabilisés par cette erreur mount :
mount error 12 = Cannot allocate memory
Ok, c’est qu’il devait sûrement y avoir quelque chose de mauvais dans la ligne de commande ou avec le système mount.cifs. C’est une erreur classique qui s’affiche sous Linux, lorsque vous tentez de monter un partage Windows XP, 2000, ou NT share et que ça ne fonctionne pas :
mount error 12 = Cannot allocate memory
Ce n’est pas un problème Linux… on s’en doute (sourire). Le problème vient de la machine Windows : c’est elle qui cause ce problème et qui refuse d’autoriser le « mount ». J’ai trouvé ce problème en faisant sous un terminal, tourner tail sur la liste des messages système d’un côté, et sous un autre terminal, tenter le mount pour voir quelles étaient les erreurs générées par la ligne de commande.
La commande qui génère l’erreur est :
[root@ohmster ~]# mount -t cifs //missy/ohmster_music /mnt/test -o username=my_user,password=my_password,rw
mount error 12 = Cannot allocate memory
Refer to the mount.cifs(8) manual page (e.g.man mount.cifs)
[root@ohmster ~]#
Les résultats du tail qui m’ont montré l’erreur :
[root@ohmster samba]# tail -f /var/log/messages
Oct 23 21:15:40 ohmster kernel: CIFS VFS: cifs_mount failed w/returncode = -12
Oct 23 21:19:43 ohmster kernel: Status code returned 0xc0000205 NT_STATUS_INSUFF_SERVER_RESOURCES
Oct 23 21:19:43 ohmster kernel: CIFS VFS: cifs_mount failed w/return code = -12
[root@ohmster samba]#
Le message NT_STATUS est suffisamment explicite, c’est bel et bien la machine Windows qui est la cause du problème, pas la machine Linux.
Ci-suit comment appliquer un patch. Le patch Windows, bien sûr.
The Solution !
Regardez le log des Events sur la machine Windows machine qui pose problème. Cherchez une croix rouge, et le mot « Error » ou « Erreur ». La source est « Srv ». L’erreur ressemblera à :
The server's configuration parameter "irpstacksize" is too small for the server to use a local device. Please increase the value of this parameter.
Si vous avez cette erreur système sur la machine Windows, alors faites ce qui suit.
Modifiez (ou créez si nécessaire) la clé de registre :
HKEY_LOCAL_MACHINE\System\CurrentControlSet\Services\LanmanServer\Parameters\IRPStackSize
Si la clé n’est pas présente, créez une clé de type DWORD, appelez la IRPStackSize. Validez.
Ensuite, qu’elle soit présente, ou que vous l’ayez crée, la procédure est la même :
Le problème est résolu. Allez faire vos montages partagés Samba l’esprit tranquille.
—
~Ohmster
Si vous avez des commentaires / suggestions, n’hésitez pas à laisser un message !
Cet article a été honteusement pompé ici.
Mais je fais l’effort de le traduire en Français (en espérant que ça aide du monde) !
Lorsque vous tentez de faire une mise à jour automatique via le menu « Faire une mise à jour », en cliquant sur le bouton « Mettre à jour automatiquement » et que WordPress vous demande des informations ftp avec un nom d’utilisateur et un mot de passe, l’explication est simple : les droits d’écriture dans les répertoires ne sont pas bons. Il vous suffit d’aller changer les droits et d’autoriser l’écriture et hop !
Tout fonctionne !
En espérant que ça aide du monde !