Mots-clé : python

Django : django.db.utils.IntegrityError: table__new.colonne may not be NULL

C’est le genre de problème qui arrive très souvent lorsqu’on touche à une base de données, en ajoutant un champ.
Pourquoi ? Parce que par défaut, les champs crées sans paramètres ne doivent pas être vides.

Exemple concret : je veux rajouter pour un modèle, un champ « exemple » :

class Groupe(models.Model):
    description = models.CharField(max_length=150)
    exemple = models.CharField()

Je fais « makemigration / migrate » et là, horreur : « django.db.utils.IntegrityError: main_groupe__new.exemple may not be NULL »

La solution

  • Supprimer le dossier « migrations » de l’application concernée
  • Lancer un migrate --fake-initial qui va « simuler » un migrate, sans essayer de créer les tables
  • Lancer makemigration nomappli (!! c’est ici que si on oublie le nom de l’appli rien ne se passe !!)
  • Seconde astuce : supprimer le champ fautif
  • Lancer migrate : là il va supprimer de la base le champ fautif
  • Remettre le champ avec blank=True, default=None
  • Refaire makemigration puis migrate sans préciser le nom de l’appli, comme d’habitude.

Et votre nouveau code sera pris en compte :
class Groupe(models.Model):
    description = models.CharField(max_length=150)
    exemple = models.CharField(max_length=150,
                               blank=True, default=None)

Oui je sais ça a l’air long, mais en pratique ça prend deux-trois minutes seulement !

Django

Django aide-mémoire

Templating

Héritage du parent {% block menu %}
{{ block.super }}
{% endblock %}
Créer une variable s2_lang
puis la sortir dans le template
{% with 'x/y/js/i18n/'|add:LANGUAGE_CODE|add:'.js' as s2_lang %}
    <script src="{% static s2_lang %}"></script>
{% endwith %}

Astuces

Afficher des messages uniques à l’utilisateur
Ex: « Merci de vous être inscrit » etc.
Infrastructure des messages
Faire un import des settings, mais relatif
= pas dépendant de l’application où vous avez le fichier.
Coder « proprement » pour Django
Calculer un template « manuellement »

Aide ici
from django.template import loader
def render_sample(request):
    s = loader.get_template(
        'alerts/subject.txt'
    ).render({})
    m = loader.get_template(
        'alerts/message.txt'
    ).render({})

SQL

Requête directe

Lancer la console python (Tools » Python console),
puis taper :
from django.db import connection
cursor = connection.cursor()
cursor.execute("PRAGMA table_info(langue)")
for c in cursor.fetchall():
    print(c)


Autre exemple :
from django.db import connection
cursor = connection.cursor()
cursor.execute("delete from app_persongame where person_id=1")
cursor.fetchall()
cursor.execute("update app_persongame set state=1 where person_id=2")
cursor.fetchall()

Sauvegarde / restauration

Lancer via manage.py ([CTRL] + [ALT] + r sous PyCharm) :
Sauvegarde : dumpdata -o data.json
Restauration : loaddata data.json

Changer un mot de passe

from django.contrib.auth.models import User
u = User.objects.get(username='nomutilisateur')
u.set_password('motdepasse')
u.save()

Multilangue

Créer tous les fichiers en ignorant mes librairies tierces :
makemessages --locale fr --locale en --ignore third_party
Multilangue JavaScript : préciser le domaine
makemessages -d djangojs -i third_party --locale fr --locale en --ignore static/vendors
Ne pas oublier : compilemessages … et de redémarrer le serveur !

Multilangue : chaînes custom

Dupliquer le dossier locale hors de vos applications (= je le fais dans le dossier principal), exemple :
locale »»»» locale_unity
Modifier LOCALE_PATHS du fichier settings.py comme suit :
LOCALE_PATHS = (
    os.path.join(BASE_DIR, 'locale'),
    os.path.join(BASE_DIR, 'locale_unity'),
)
Modifiez les fichiers .po concernés.
Ne pas oublier : compilemessages … et de redémarrer le serveur !

Multilangue / JavaScript

Declaration dans urls.py

Attention, ici « app » = dossier d’une application qu’on veut traduire, moi je les appelle souvent « app ». :

from django.views.i18n import javascript_catalog, JavaScriptCatalog

js_info_dict = {
    'packages': ('app',)
}

urlpatterns = [
    url(r'^i18n/', include('django.conf.urls.i18n')),
    # blabla
]
urlpatterns += i18n_patterns(
    url(r'^jsi18n/$', javascript_catalog, js_info_dict,
        name='javascript_catalog'),
    # blabla
)

Inclure les fichiers js dans la page HTML

<script src="{% url 'javascript_catalog' %}"></script>

Ajouter aussi le fichier personnel où je mets ma fonction « raccourci » pour la traduction :
<script src="{% static 'js/globals.js' %}"></script>

Ma fonction « raccourci » pour la traduction :
function _(a) {
    return gettext(a);
}

Extraction des chaines et traduction

Très important : récupérer les chaines en précisant le domaine djangojs :
makemessages -d djangojs -i third_party --locale fr --locale en

À partir de là, deux fichiers de traduction : le classique django.po et le nouveau djangojs.po.

Exemple de code JavaScript qui fera partie des chaînes à traduire

$('#menu').empty().append(
    $('<h5 />').html(_('Waiting...'))
);

Installation

Python 3.9

virtualenv -p /usr/local/bin/python3.9 venvpython3.9
source venvpython3.9/bin/activate
pip install --upgrade pip
pip install 'django==3.0'

Installez django_markdown_app au lieu de django_markdown (car c’est le successeur, django_markdown n’est plus maintenu !)

pip install django_markdown_app
pip install django-compressor
pip install python3-openid
pip install pytz
mkdir htdocs
cd htdocs

PostgreSQL

Création d’un utilisateur + mot de passe

Être root. De là, taper :
sudo -i -u postgres
psql [nom base de donnees]
CREATE USER interro WITH PASSWORD 'i';
Très important : lui donner tous les droits sur la base :
GRANT ALL PRIVILEGES ON DATABASE "interro" to interro;
Et si l’utilisateur existe déjà :
ALTER USER interro WITH PASSWORD 'i';

Changement d’owner des tables

Se connecter à la base. Allez je mets la commande Windows :
"\Program Files\PostgreSQL\9.5\bin\psql.exe" -U postgres interro
. De là, taper (j’ai bien mis en gras le nom de l’utilisateur à qui on donne les tables) :
SELECT 'ALTER TABLE '|| schemaname || '.' || tablename ||'
OWNER TO interro;' FROM pg_tables
WHERE NOT schemaname IN ('pg_catalog', 'information_schema')
ORDER BY schemaname, tablename;

Et PostgreSQL va sortir une floppée de « ALTER TABLE...« , il suffit juste de les copier/coller dans le prompt pour les appliquer.

Vues Login / logout

– Créer l’URL de login :
url(r'^login/$', LoginView.as_view(), name='login'),

– Créer la vue LoginView
from django.contrib.auth import views

class LoginView(views.LoginView):
    template_name = 'login.html'

    def __init__(self):
        pass

– Créer l’URL de logout :
url(r'^logout/$', LogoutView.as_view(), name='logout'),

– Créer la vue LogoutView
from django.contrib.auth import views

class LogoutView(views.LogoutView):

    def __init__(self):
        self.next_page = '/'

<form action="{% url 'login' %}" method="post" accept-charset="utf-8">
    {% csrf_token %}
    {% for field in form %}
        <label>{{ field.label }}</label>
        {% if field.errors %}
            {{ field.errors }}
        {% endif %}
        {{ field }}
    {% endfor %}
    <input type="hidden" name="next" value="{{ next }}" />
    <input class="button small" type="submit" value="Submit"/>
</form>

La tendance python : vivement que la France rattrape l’international !

J’ai eu une discussion avec des fans de Symfony il y a quelques temps. Ils me soutenaient (avec une prétention qui m’a surpris) que Php était de très loin le langage le plus recherché actuellement. Ils se trompaient lourdement. Dire que Php est le langage le plus utilisé, oui. Dire qu’il est le plus demandé, et qu’il le restera, non.

Python est l’avenir

Aucune discussion possible.

Python c’est tout. End of story

Voici le mail que j’ai envoyé récemment à plusieurs de mes clients, et, qui explique la tendance python :

En tapant « most popular development languages » sur google, on voit que :

Enfin je l’ai appris ce matin de la part d’un professeur : deux universités de France retirent Php pour le remplacer par Python cette année (si vous êtes intéressé je vous dirais lesquelles, je n’ai plus en tête les villes de ces universités).

J’imagine les gens de mauvaise foi qui vont aller chercher sur le Web et sortir les deux ou trois sites qui mettent Php devant Python… oui vous allez en trouver, mais en proportion, la plupart des sites expliquent que la tendance d’aujourd’hui c’est Python et JavaScript. Quant à ce dernier, moi qui ai fait quelques sites en NodeJS, je confirme que c’est l’âge de pierre aussi bien côté serveur Web que côté langage JavaScript lui-même… peut être qu’enfin à sa version 6, il fera du scoping normal (lisez ici) déjà rien que ça c’est moisi, sans parler des principes des closures qui empêchent carrément de faire de grosses applications qu’on peut facilement maintenir… là aussi, je ne pourrai jamais convaincre des gens qui ont principalement fait du JavaScript sans avoir essayé aussi intensivement d’autres langages (on ne peut pas comparer dans ce cadre, et toute discussion devient alors impossible)…

PyCharm et Django : comment faire une requête directe

Si, comme moi, vous voulez faire des requêtes directement et voir toutes les tables, pour les modifier manuellement, rien de plus simple, il faut juste chercher sur le Web pendant pas mal de temps. Voici la solution pour économiser de précieuses minutes :

  • Lancer la console python (Tools » Python console)
  • Taper :

    from django.db import connection
    cursor = connection.cursor()
    cursor.execute("PRAGMA table_info(langue)")
    for c in cursor.fetchall():
        print(c)
  • Et vous obtiendrez un résultat qui pourrait ressembler à :
    (0, 'id', 'integer', 1, None, 1)
    (1, 'date_creation', 'datetime', 1, None, 0)
    (2, 'date_last_modif', 'datetime', 1, None, 0)
    (3, 'date_v_debut', 'datetime', 1, None, 0)
    (4, 'date_v_fin', 'datetime', 0, None, 0)
    (5, 'nom', 'varchar(50)', 1, None, 0)
    (6, 'locale', 'varchar(2)', 1, None, 0)
    (7, 'bidirectionnel', 'bool', 1, None, 0)
    (8, 'nom_local', 'varchar(50)', 1, None, 0)
    (9, 'active', 'bool', 1, None, 0)
  • Si vous voulez plus de détail, et que la console a des problèmes avec les accents, voici un code qui remplace les accents par un point d’interrogation :
  • Taper :

    from django.db import connection
    cursor = connection.cursor()
    cursor.execute("SELECT * FROM langue")
    for c in cursor.fetchall():
        for d in c:
            if type(d) is str:
                print(d.encode(
                    sys.stdout.encoding,
                    errors='replace'))
            else:
                print(d)
  • Et vous obtiendrez un résultat qui pourrait ressembler à :
    None
    b'Russian'
    b'ru'
    False
    b'???????'
    False

Django et authomatic : comment s’enregistrer en un click

Les étapes à faire

Installer :

  • Python 2.7 maximum car google ne fournit des sources Python que pour la 2.7
  • Django (version en cours = 1.8)
  • Et puis ce qui n’est pas précisé avec authomatic :
    • Installer defusedxml
    • Installer google app engine (faut le chercher sur le site de google)
    • Installer Python openid
  • Installer enfin authomatic

Personnellement j’ai crée un dossier que j’ai appelé third_party.
Ce qui fait que mon arborescence est comme cela :

.
├── locale
│   ├── en
│   ├── fr
│   └── sv
├── produits
│   ├── migrations
│   └── templatetags
├── pyweb
├── static
│   ├── css
│   ├── fonts
│   ├── images
│   ├── js
│   └── produits
├── templates
│   └── produits
└── third_party
   ├── authomatic_0_1_0
   ├── defusedxml-0.4.1
   ├── google_appengine_1_9_25
   └── python-openid_2_2_5

Enfin, les associations dans authomatic :

Dans Facebook il faudra aller dans le coin des développeurs, et créer une application jusqu’à arriver à un écran comme celui-ci :
Informations facebook

Même chose pour gmail :
Informations gmail

Et enfin la relation dans le code :
Code dans authomatic

Pour terminer : Facebook ne renvoyait pas les emails, lorsqu’on s’authentifiait.
C’est un bogue connu depuis que Facebook a modifié son API très récemment.
La solution est ici : editez votre fichier \authomatic\providers\oauth2.py.

Allez à la classe Facebook.
Copiez-collez ce code, qui ne change presque rien (je vous laisse chercher) sauf l’URL user_info_url qui a été modifiée pour la v2.4 : et voilà, il ne vous reste plus qu’à suivre le tutoriel de authomatic avec Django, qui est assez bien fait, et tout devrait fonctionner !

class Facebook(OAuth2):
    """
    Facebook |oauth2| provider.
    
    * Dashboard: https://developers.facebook.com/apps
    * Docs: http://developers.facebook.com/docs/howtos/login/server-side-login/
    * API reference: http://developers.facebook.com/docs/reference/api/
    * API explorer: http://developers.facebook.com/tools/explorer

    Supported :class:`.User` properties:

    * city
    * country
    * email
    * first_name
    * gender
    * id
    * last_name
    * link
    * locale
    * location
    * name
    * picture
    * timezone
    * username

    Unsupported :class:`.User` properties:

    * birth_date
    * nickname
    * phone
    * postal_code

    """
    user_authorization_url = 'https://www.facebook.com/dialog/oauth'
    access_token_url = 'https://graph.facebook.com/oauth/access_token'
    # Correction merci à miohtama :
    # https://github.com/peterhudec/authomatic/issues/112
    user_info_url = 'https://graph.facebook.com/me?fields=' \
                    'id,email,name,first_name,last_name,address,gender,' \
                    'hometown,link,timezone,verified,website,locale,languages'
    user_info_scope = ['email', 'user_about_me', 'user_birthday',
                       'user_location']

Python : cygwin turtle howto

Avec l’installeur Cygwin :

  • installer Python3
  • installer xinit

A partir de là, voici la solution résumée de plusieurs heures de recherche :
Il vous faut préciser l’affichage, qui est chez moi le 0.0 :

export DISPLAY=:0.0

Mettez le code précédent dans votre configuration de démarrage (.bashrc)

Enfin, sur la console, l’astuce qui change tout : il faut lancer xterm.

Et là, un nouveau terminal s’ouvrira, mais qui discute avec le serveurx, et tout fonctionnera.
Pour tester, j’ai simplement lancé python3 et turtle :

  • python3
  • import turtle
  • turtle.Screen()

Et hop l’écran sur lequel on bougera la tortue pour dessiner s’affiche, c’est magique :

Image cygwin python

En espérant vous faire gagner quelques heures de recherche !

À propos

Qui suis-je ?

Dans le désordre

  • Développeur expert en Django ;
  • Développeur avancé en Python ;
  • Développeur avancé en JavaScript ;
  • Relecteur technique de plus de 17 livres sur des techniques avancées Packtpub ;
  • Développeur expert en Delphi (Pascal orienté objet) ;
  • Anglais courant ;
  • Développeur avancé en Php (aucune prestation Php, je me spécialise Python) ;
  • Développeur intermédiaire en C ;
  • Développeur en Purebasic (pour sa rapidité impressionnante) ;
  • Chef de projet Web ;

Ce qui suit n’est pas professionnel : si seul le côté pro vous intéresse, n’allez pas plus loin !
J’insiste : ne perdez pas votre temps si ma vie personnelle ne vous intéresse pas !


Une citation que j’ai parfois en tête :

Un ami est l’être dont la traîtrise provoque la plus vive surprise. Napoléon Ier

Et :

Non licet omnibus adire Corinthum

Locution Latine, littéralement « Tous ne peuvent se rendre à Corinthe », i.e., de nos jours « tous n’ont pas l’électricité jusqu’au dernier étage »… en monde anglo-saxon « not the sharpest tool in the shed ».


Qui suis-je, pas que dans le monde professionnel ?

Dans le désordre

  • Amateur de jeux de sociétés / jeux en général (+1000 sur steam) ;
  • Passionné de labyrinthes ;
  • Fan Terry Pratchett.

Mes musiques

Avec Dire Straits (qui n’a que très peu de rapport), les albums d’Extreme sont aussi les seuls albums que j’écoute encore 15 ans après et qui me donnent encore des sensations, qui suggèrent toujours des émotions et me font rêver.

Extrême (prononcez « aix-twiiime »): vraiment très peu de personnes connaissent leurs albums, à part une vieille chanson (vieille = une quinzaine d’années) qui a été un temps à la mode, qui est presque à mon sens une des plus mauvaise de leur album : « More than words ». Limite ils ont fait ça pour vendre l’album.

Ce groupe n’est pas bien, il n’est pas cool, il est pour moi vraiment la perfection.

Album #1 : Pornograffiti : le rythme Rock’n roll avec des excellents guitaristes (je n’ose pas dire « Hard Rock » parce que ça pourrait être mal interprété) et des chansons qui donnent envie de bouger est tout simplement géniallissime.

Album #2 : Yours, Mine & The Truth : Traduction (approximative) : « Vos idées, les miennes, et la vérité ». Déjà vous avez le ton de l’album. Même s’il bouge toujours très bien, il est déjà plus lent, il y a plus de mélodies douces, plus de violons, et les paroles… rien que d’y penser… bref :
– dans la section « vos idées » : l’une s’appelle « pourquoi les faiseurs de paix meurent ? » avec un speech original de Martin Luther King qui s’intègre de manière fluide dans la chanson, une autre s’appelle « le zoo politique », rien que la première chanson est incroyable : on entend le père qui parle à son fils : « tu vas faire ci et ça ok ? tu m’ENTENDS », et si on écoute bien on entend le fils qui répond « oui papa ». Si on écoute plus attentivement, on l’entend sa voix qui se modifie, il répète encore 3 – 4 fois « oui papa » et sa voix change, en s’éloignant, à la fin on entend très lointaine une voix d’homme qui dit « oui, papa »… c’est digne d’un Pink Floyd des temps modernes.
– ensuite section « mine », toutes les chansons sont intimes, et superbes, il y a des choses sympathiques comme « je suis un tragico comique » dans laquelle il raconte ses péripéties de personne super maladroite qui tente de draguer (beaucoup d’entre nous – moi y compris – ont connu à un moment ou à un autre ce genre de situation), et d’autre chansons bouleversantes : je découvrais l’album en même temps qu’une amie de 17 ans s’est tuée en mobylette, et une des chansons qui est l’incarnation de la pureté et du questionnement sain demande : « please tell me God isn’t dead… » (« dis moi que Dieu n’est pas mort »), « Look at all the lonely people loosing faith in a world full of despair please tell me God isn’t dead… » (« Regarde tous ces gens qui perdent la foi dans un monde plein de désespoir s’il te plait dis moi que Dieu n’est pas mort »), qu’on soit croyant ou pas, la voix, la question, la force de la musique, le ton qui monte, à la fin on sent que le chanteur, en souffrance, pose vraiment la question « s’il te plait dis moi que Dieu n’est pas mort ! » et à la fin il n’a pas de réponse, il se termine en disant doucement « je veux savoir… » presque comme s’il parlait à soi même… c’est juste beau.
– et pour finir la section « the truth », la vérité. A vous de la découvrir, je ne veux pas vous influencer en quoi que ce soit. Ici aussi, tout est parfait.

Attendez ce n’est pas tout ! Je n’ai pas parlé de la qualité d’écoute ! Quant à la technique du son pur… Après avoir entendu le Titanic sur des baffles d’une qualité incroyable et avoir eu vraiment l’impression que Céline Dion était à deux pas de moi, les albums d’Extrême sont les seuls autres albums qui ont fait cette impression sur ces baffles. Ça m’a donné une gifle. Ces albums sont d’une clarté sonore extraordinaire.

Si vous aimez :
– le rock’n roll,
– la guitare électrique,
– les émotions fortes,
– des albums qui ont tous un sens plus poussé que « Pour t’oublier, j’ai du t’imaginer en train de chier »,

alors courrez les acheter. Et ne cherchez pas à les télécharger illégalement ils ne sont même pas en partage !

Ignorez ce qui suit si ma vie ne vous intéresse pas !
Ne perdez pas votre temps si ma vie ne vous intéresse pas !

Note personnelles sur la MSDN

On est réellement obligé de lire toute la MSDN, parce qu’ils s’attardent sur certains détails APRÈS la doc, genre : « ah oui au fait, on a oublié : si ça fonctionne pas, c’est normal… peut-être qu’il faudrait, hein, pourquoi pas, parce que oui on dit que c’est comme ça mais pas tout le temps, hein, HEIN ».

Lis ça :
http://msdn2.microsoft.com/en-us/library/ms738547.aspx

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